f
(]
1!
ar a la grandeur de =
Letellier appelés à accomplir.
t sous ses 21 mai, un que le distingué visiteur a
Cours de pédagogie donné par le visi- comprendre et nous sou-
teur des écoles, le R. P. Henri Bour- . son travail porte des
he à cr ere qrermn) nombreux.
région. Ce fut un plein succës. | AL le président de l'Exécutif a bien
Mleuts ls température n'y a pas con- nous faire part du travail ac- d'avance
SU 28 de matin. 2e ras tre ive | je,
Lo à À au courant des projets qui Sièges réservés, 75 sous. Entrée générale, D
brand, curé suppléant. chantait une |seront mis à exécution dans un Svenir sous. PSS RE
Laruns Le chant fut | d'Education est la sauvegarde de nos spécialement pour nos abonnés, les autres passeront en second leu.
touts par les élèves du couvent. Adroits religieux et nationaux, mais Les abontés en règle qui ont droit à leurs billets devront où
re, le beau cantique “Nous elle ne peut pas nous sauver sans faire la demande aux bureaux de ls “Libert£”. Na
Ivas fit vibrer les coeurs, et|nous. Elle met à notre disposition
fin de la messe, les enfants mi-|\des moyens d'action rivalisknt
MAUR LES deste à er laumimenmenns eu te caues de Dates des diverses représentations |
tique à ls sainte Vierge: “Donnez- | ganisations du même genre: nous de- Jeudi 16 ‘un La Salle
tois un beau jour”. En réponse à | vons eu être fiers et suivre avec con- Vendredi 17 ‘in — ES nes do lac 1
finvitation des officiers du cercle |fance ses directions Lundi _….Sainte-Amélie |
iocal, plus de deux cents communions | M. Léon Bruyère, secrétaire local, Mardi Laurier
re. rrdie Danighegts ajouta ses remérciements aux Jeudi 23 ‘un .. Saint-Lazare |
A D beures, une pluie tor-| dents et assura le Père Bourque et Doumic, direttétr de la “Revue des Se À ne Balnt-Léon
D nl nn een ee Deux-Mondes” et p-r d'autres gran-|}| Mardi 28 “un — Matt
Jus Morte de Saint- cette des Mercredi 29 ‘uin L |
Mgr revues françaises d'accompagner os : 1 ‘
que nous Vendredi ler :‘ullet mr À |
Dimanche $ ‘rüllet _ __Letelller . ÿ
trad Mercredi 6 ‘uillet _.Solnt-Norbert
"7 Jeudi 7 ‘uillet .Saint-Jean-Baptiste
dans nos d'écrire un compte rendu du vôyage|}] Dimanche 10 : Saint-Pierre
tste, Quelques instants après, M et de renseigner ses lecteurs sur les
l'abbé Forest arrivait avec deux re- différents groupes de langue frangai-
frésentants des Frères de Marie du se que visiteront les excursionnistes !
collège de Saint-Jean-Baptiste. Les dans Ontario et dans l'Ouest cana-
religieuses de l'Institut Notre-Dame den. SR moe creme
des Missions de Saint-Joseph et de . L'envoi d'un tel délégué marque
ir
recteur du service municipal de san-
dans les cas de fièvre typhoide.
la journée.
Père Bourqgue s'attacha dès le
son auditoire par sa façon sim-
le tour de la Victoire sans accident.
kr
WASHINGTON — A son retour
aux Etats-Unis, on accordera au ca-
pitaine Lindbergh la “Distinguished
Fiying Cross” et il sera classé com-
me membre de le réserve d'aviation.
CHARLOTTETOWN, L P.-E. — Le
lieutenant-gouverneur Hartz a dis-
Edouard en prévision des élections gé-
té, constate une diminution sensible La dernière loi de tempérance
c'Ontario fut proclamée comme me-
isure de guerre. Elle restreignait la
OTTAWA — Le bourdon pesant |.nte des spiritueux aux fins médica-
20.000 livres a été monté et placé dans |. Dorénavant, tout adulte demeu-
rant où non dans la province mais
muni d'un permis, peut se procurer
des spiritueux aux magasins du gou-
vernement pour conèommation chez
lui (Ces permis coûtent deux dollars.
ritueux peuvent être cogsommés la
cabine d'un vaisseau sur les Grands
sous la Légisiature de l'ile du Prince-|} es
nérales qui auront lieu le 25 juin Le Saint-Père est | té
l'intérêt que l'on témoigne, en France,
aux choses du Canada et particulière-
ment aux voyages de Liaison françai-
se. Le but de ces excursions a-même
paru si louable, si sympathique,. que
———— 24m -+—
La dévotion à säinté Thérèse
de l'Enfant-Jésus
Québec -— Le culte à rainte {fhé-
rèse de l'Enfant-Jésus, la petite fleur
du Carmei de Lisieux, se dévéloppe
rapidement dans la réglbn de Québec
comme partout ailléurs.
Le 12 juin prochain, {à
rie de la Beauce, sers béni un au-
ment À sainte Thérède. Ce molil-
ment, don d'une fanegg de la phrois-
se, devait tout d'abord érigé dans
rivée est. fixée au 29 juillet.
Tous deux seront les hôtes du gou-
verneur général ‘et du ganvernement
canadien et passeront les:2, 3 et 4
août à Ottawa De là ils se rendront
directement dans les Rocheuses et vi-
siteront Banff, lac Louise, le ranch
du prince de Galles, à High River. M.
Baldwin quittera le prince de Galles,
dans l'Ouest, et retournera par Cal-
gary, Régina et Winnipeg. Il se rem-
barquera le 17 août prochain.
Section de l'Alliance fran-
çaise à Toronto
Toronto — Afin C’établir de meil-
tie de l'année.. 11 décida de mättre
em —
sie ei leures relations entre les races fran- | tit parc.
tations à nos bonnes religieuses pour WASHINGTON - Le baron de ds ce cadeau çaise et anglaise du Canada, on a or-
Cartier de Marchienne partira de ganisé à Toronto une section de l’AI-
grand concours apporté au succès
cours
le
du cours pédagogique Washington dans quelque temps Dour
. Montréal — M E-W. Beatty, pré-
liance française. Les buts qu'on se ce moniurent.
è
8
è
ê
;
8
Me- 1] sera tenté le 30 juin
cette maison crut que la petite défthte | ney, aviateur canadien Agé de 34 ans,
aurait été isolée la plus grandé par- | a annoncé qu'il partirait d'Ottawa le
le statue dans le jardin attenant au|volée sans ‘arrêt jusqu'à Londres à
collège qui sera transformé en un pe- }l'occasion du jubilé de diamant de ‘la
Une grande fête paroissiale aura |complira sa randonnée accompagné
lieu à l'occasion de la bénédiction de | 4‘un opérateur de radio, qui ne
de mon abonnement
billeta auxquels j'ai
Doncopsosasooosveose sonvesteséese
|
VOL CANADIEN
OTTAWA-LONDR
7.
l’aviateur Janney, à l'oc-
casion des fêtes de la Con-
fédération
Ke ——
Ottawa — Le capitaine E.-L. Jan-
30 juin prochain pour tenter une en-
Confédération. Il déclare qu'il ac-
pren:
dra aucune rt au fonctio
M. Edmond Comeault, vice-prési- | devenir ambassadeur de Pig-que à du Pacifique Canadien. vient. le sont de propager les connais- eme de l'avion ct opérateur a dé
dent äu cercle local, exprima avec | Londres. recevoir de M. l'abbé Joseph Bastien, | sances. et l'usage de la langue fran- LONDRES — Le roi a remis à]|choisi, mais le capitaine J
chaleur ses remérciements au R. P.; : FRA SRE supérieur du Collège Canadien à Ro-| çaise, faciliter les relations sociales, | Charles Lindbergh la croix du service | pas voulu divulguer son p
Bourque, à tous les visiteurs et à.nos LONDRES — marquis de Lans- | me, une lettre fort intérèssante dans
Tournée dramatique de la ‘‘Liberté”
Veuillez trouver ci-inclus la somme de ATTLES into: On
l'année 192... et mo faire parvenir
pour la représentation qui aura
la paroisse)
économiques et éducatives entre la
race française et les autres races:
maintenir l'usage du français et de | l'Ordre de Léopold.
aérien. Il était déjà chevalier de la:
downe, ancien lord du trésor britan-
nioue et ancien gouverneur général
laquelle celui-ci lui fait part de l'ex-
trême satisfaction manifestée par le
Le capitaine Janney
Légion d'honneur et chevalier de |voler d'Ottawa à d
du Canada de 1883 à 1888, est mort
après quelques heures de maladie.
Il était âgé de 82 ans.
XL. l'abbé Chamberland tira les con-
PARIS — Tous es écoliers fran-
signent actuellement un message
fraternelle sympathie pour les
MM. Théobald Joyal, Allarie et Si- inondés de la Louisiane; le gouverne-
gnard Beaudoin, de Sainte-Agathe, ment américain avait refusé leur
appréciation de l'excellent travail qu'il
accomplit pour le bien de nos institu- | Sais
trices. æ
LONDRES — Trois cent cinquante
candidats ont été mis en nominatien,
dans l'Etat libre d'Irlande, pour les
1152 sièges de la Chambre. L'élection
aura lieu le 9 juin
lui-Ü ROME — Le cardinal Gasparri a
célébré le cinquantième anniversaire
de son ordination sacerdotale, par une
messe solennelle à, la chapelle Pau-
line.
PARIS — La prochaine “semaine
sociale” de France, la dix-neuvième,
se tiendra à Nancy du premier au 7
femmes dans ln société”.
a ————
Service anniversaire de
l'abbé Jolys
. Le service aniversaire pour le re-
pos de l'âme de feu l'abbé Jolys, an-
cien curé de Saint-Pierre, aura ïieu
dans l'église de cette paroisse le mar-
di 14 juin, à 10h Les membres du
clergé et les amis du défunt sont
cordialement invités.
far un bomme qui connait parfaite-
août prochain. Lepsujet en sera: “Les ie
* Au “Stampede”’ de Calgary
Un “’bucking bronco” qui a réussi à faire morère la poussière à walier, au “stampède” de C ue
pour se débarrasser désarçonner le cavalier. réussissent assez souvent, ) amusan
pour 2 pastnbause, eue Qui le De à Pre LR ME 8 j
prochain, en se rendant
—#
en France et y apporter le premier
‘| message du Canada par aéroplane.
; Les arrangements financiers ont
été faits pour cette envolée. Il fau-
dra au moins $50,000 pour financer
une pareille entreprise et l'argent sera
fourni par un comité composé en
grande partie de citoyens d'Ottawa.
Le capitaine Janney a rencontré le
maire Balharrie et le lieutenant-colo-
nel J.-L. Ralston, ministre de la dé-
fense nationale. Il a été annoncé
par la suite que le gouvernement ne
ferait rien de plus que de coopérer
foriaellement à l'envolée proposée.
‘Le capitaine Janney a déclaré qu'il |
n'avait pas encore décidé quel sorte
d'avion il emploierait pour son envd-
lée. ‘Je n'ai pas encore pris de déci-
sion à ce sujet, mais j'emploierai un
monoplan à triple. moteur, pouvant
transporter assez de provisions pour
mon opérateur dé radio et mot-mê-
me."
Le capitaine Janney ést le premier
Canadien qui offrit volontairement ses
services dans l'aviation canadienne
lors de la guerre. Il s'est occupé ac-
tivement d'aviation depuis ce temps-
là ‘Le capitaine Janney est né à
Gait, Ontario, et s'est intéressé à la
depuis sa tendre enfance,
H était gérant des ventes d'une ‘com-
pagnie d'automobiles ‘lorsque la guer-:
sossonmsnsss PERTE TIT I EILILLLLLE
SA à à
PREETENE EEE EE ELEC EECEEE EEE EEE EEE
re éclata ét 11 s'enrôla dans l'aviation
le 7 août 1914. Il servit dans ce corps
: durant quatre ans et organisa après
‘l'armistice une écoie d'aviation à To-
ronto. 11 a fait des envolées au Ja-
pon et sur ce continent. à
L'intérêt soulevé par cette envo
est considérable. L'aviateur :mû!
réalais, K.-L. Montgomery, a
phié à l'hôtel de ville d'Ot
mandant que le vol soit ©
les aviateurs ca:
législature ést. dissoute. -
La législature du Manitoba n été
officiellement dissoute sarhedi, .
Les brefs d'élection fixent la nomi-
nation au 18 juin et la votation au 28.
Les élections du Pas et de Rubert's
Land auront lieu le même jour que
dans les autres circonscriptions, Jus-
qu'ici, l'usage avait été de retarde
les élections dans Ces deux circons-
criptions du Nord. | + .
Dix-sept jours sont accordés pour
le comptage officiel des voix, les brefs
étant retournables le 15 suin.: 4
Boniface.
Code, Morris; Sainte-Rose, R.-T;: Mc:
Donald, Magnet.
2 A mms
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SES:
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+ “ us concordat avec le Vatican. Heures de consultations:
él faut-avoir vu ce que j'ai L'ertiote. 129 de se eunosséet slpals HR AID Han —1hàGR pm
A ° fre pu gare I IPN S nés sd Té1.28 173 103, Edifice Medical Arts
hr pie an im tous les enfants catholiques; 2 Les +
RE | Dr 3.5. TRUDEL
des hôpitaux de Paris et de New-Yort
i
|
! ’ Spéciatrte:
St LD 2 i l'évêque diocésain; 3. L'enseignement . Maindtes den yeux, creflles, veu et gorge .
FU étui — Un à été fait < .. Heures de consultations: 24 6h
Fe aus ai Perl L'hon, LC Amex. nées | retsitte aus 10e écoles catholiques Bureau: 702. Edifice Grant West Per
PE re : d'Etat pour Dominions, comments | relève l'autorité ceclésiastiqué: * Manen--356 ain, ni
2 1e mi dérm ‘céra sa tournée impériale le 22 juil: ’ Téléphone 27 249 Éd
Fr Ê : jour-là,-1} partira pour l'Afri:|les élèves sont tenus d'assister
L - sr les relations L'aitès ec nds tralte, ln Houvolls-lélande et je Ca | co Det 00 RuRRERC pur 2 prie DR N.-A. LAURENDEAU
C sn k vs sage D A nada, retournant à Léôndres à l4 fin|dans les écoles eatholiques; "2e CHIRURGIE ET GYNECOLOGIE
ù ! "[@e janvier 1928. . étudiants catholiques devront s'ap-
-“sttre Yunion.
On fait remarquer qué l'union s0-
fois par Heures dé bureau: ? à 3 pm. 7 a 8
née des ts de tence
wiétique s poursuivi et poursuit enco-| Les catholiques ‘et l’autorité rare Lu
C
pim., ou sur rendez-vous
. d'Eucharistie et suivre les exercices
a
| HOTEL FRONTENAC | 271 ru Hamel, Saimt-Banitsce
à Te pe mainténir la paix, en Ce n'est peut-être pas mieux que Téléphone 25218 em
dépi rovocations. bis — nteté le Pape fait en tique dans la L'unique nôtet ds langue frariçaise |
run Havpel dit de plus que: la guerre XI à parlé prier murs . ra ae on nu: a point de vue Létru à Repas Cha DR LEON BENO _
L re 4
2. Rent ne Gclancher en Fume, en dé En Sijet d'importance vitale | légal, c'est probablement un “record” | de l'un de ses lecteurs dans laquelle simples et doubles. Satisfaction assurée | Chambes 3 édifice Henyne Canndirnne
imquPit des eflorts pour 28 paie, et avertt | Dojitique de l'Italie, de is | moderne. ü dit: | Latourelle Frères, prop. da1, RÜR MAIN, WENNIPEG
; n4+ fous les merabres du parti de don-| Po à 0 Ut ds Mist .... “L'histoire ancienne et moderne 101, NOTRE-DAME EST, WINNIPEG | Heures de burénu: 1 h. 30 à 5 h. 30 p.m.
: «mer, leur attention aux questions pro- Unis, lorsqu'il = ou Y'attitude du| Les Etats-Unis sont à la tête de| démontre qu'on ne saurait s'attendre, Le noir sur srrangement présiatie
1+,pres à consolider la force économique Setet en ce qui rde les re-| tous les pays du monde par le nom-|à une tolérance magnanime de la ghz Déniammen: Lun, Clement, Noerwood
suit Ja défense du pays. lations ps catho comme indi| bre de leurs journaux. Ils en ont |Part des races latines. L'histoire de
——— 42 0-— — — liques,
; Québee rouve le contraire. | Av 7 ; 4 vs
L'or s . 4 vidus et comme organisations, avec| 21,000, dont 2,500 quotidiens, La ne pP pas
: I) Osservatore Romano’’ |},
l'autorité civile. France vient ensuite avec 5,000 dont | C'est mue par la nécessité que læ po- an ns : mice DENTISTES
Leo dénonce les concours Dans une lettre approuvant le nou- |-2,400 quotidiens. L'Allemagne oceu-}P ns. Q ag Prns. k (LP J.-P O'SHEA & CITÉ Dr JONCAS
2 Lo | de beauté veau statut de la “Fédération des ca-| pe le troisième rang avec 3,150. Lalrante… Que Québec abeolu-| De €.
LS / tholiques italiens"! dd le cars | Chine est peut-être le pays qui en a|ment indépendart. et l'on verra si - | ê 15-19, Perrenuit Lane, Montréal DENTISTE CANADIEN-FRANCAIS
; 4 + crlnesnseer: su2s . \ L De l'Université North Cht-
“#'* ‘Rome — “Les concours de beauté |dinal Gasparri, secrétaire papal, aux| 2 moins par rapport au chiffre de sa [ion Pourrs y enseigner l'allemand [99 engo. sollicite la ellentéle cons
“sont souvent une cause de mialheur|dirigenants de l'organisation, le Pape | population. _. _ a que 49. jee; 2. Dogg À agp: / | ETF FPMPNE TEINTE | DUR RE CE SoNERSRT, wyxitrne
12% LL (| , :
À perp étuel pour la femme”, dit l'‘Os-}a défini les fonctions des catholiques > s : Téléphone 23 251
“’Syvatore R "© e officieux | éans la vie sociale comme “rn moyen Le nombre des divorcés croît à vue | tuellement c'est à 1a tolérance re ‘
du-Vatican, qui dénonce fortement de répandre l'application pratique des d'oeil en Francé. En 1920 ils étaient | nique qu'elle le doît."”
iyifitéret toujours grandissant des jeu- | principes chrétiens” tout en se tenant ;
nes Jtaliennes pour ces genres de|car-mêmes ‘en dehors des factious
*"* æofitours. Sous le prétexte d'assurer | politiques”.
“a renommée ct même la fortune, dit “Les catholiques, a ajouté le Sou-
“’#shéore le journal, des mercantis sans | verain Pontife, doivent promouvoir
#5 ecrupule influencent les jeunes fem-leffcacement les intérêts de la reli-
‘ic mes qui autrement seraient ample-|#ivn non moins que le bien-être pu:
ment satisfaites de leur vie normale. | tic.” ;
“Souvent ils les entraïnent dans une re ———
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‘‘logie sociale basfe sur l'action dan-|tes les églises catholiques une lettre ,. : É.. Marbres — Granits — Statues en Dr JARJ
|‘? sertuso du baeille de la vanité, lequel | qu card di Mrtran. de rediai oir Ce n’est pas tout de désirer, il faut exécu- marbre Carrare J OUR
agissant sur l'esprit le plis simple, [la question scolaire. Le passage le
le pins serein et le mieux portant, le|plus saillant est le suivant:
: transforme et le détache des habitu- “Que veulent les catholiques dans
"les ardinâires de la vie dans laquelle l}a Jjutte scolaire? Persécuter ceux
il na été élevé. qui ne le sont pas? Point du tout.
“Ayrès avoir participé à ces con- | Les parents qui ne partagent pas no-
"trpours, la plupart des jeunes filles ne |tre manière de voir et qui préfèrent
5: © peuvent plus rétintégrer leurs ancien- | ne pas envoyer leurs enfants dans
4 ‘mes habitudes et, poursuivant leur |des écoles confessionnelles, nous ne|
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note pus. : amp PRE TS
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la Liberté un nouvel he ds 2 à gs ah ver ar Len
ion, I] nous a paru intéressant, à celte occasion, de feuilleter
quelques-uns de ces quatorze volumes où se déroule, par petites F
tranches encore chaudes, la vie franco-catholique manitobaine.
Que d'événements, que de luttes mémorables revivent daris ces
pages! De combien de nobles paroles n'y retrouvons-nous pas
l'écho! .
“Si, avec le recul du temps, bien des faits perdent de leur
intérêt, certaines idées directrices, par contre, ressortent avec
une puissance accrue par la pratique et l'expérience.
L'actualité nous a fait tout naturellémiént nous arrêter à
l'expression des principes du journal en matière politique. Dans
dat bn, dome de son premicr numéro —— le 20 mai 1913
- la Liberté, après avoir dit qu’elle ne sera jamais une feuille
politique. qu'elle s’interdira absolument de combattre en faveur
de questions purement politiques, ajoutait :
“Mais qu'on nous comprenne bien.
“S'interdire absolument de combattre en faveur de ques-
tions purement politiques ne signifie pas que nous nous abstien-
drons de discuter loule question où il entre de la politique.
“I s'en présentera -- c'est inévitable —
serait une làcheté cf un manque de sincérité.”
C'est, presque dans les mémes termes, ce que nous écrivions
ici il y à quinze jours.
Tournons les pages. Quelques semaines plus tard, à l'oc-
c::=ion de la Saint-Jean-Baptiste, la Liberté faisait écho à une
voix très autorisée qui venait de dire: "N'esl-il pas vrai que
toute la sérir de nos déceptions et de nos reculs sur le terrain
de la foi var l'école neutre, sur le terrain de la nationalité par
la disparition de notre langue comme langue officielle des
provinces de l'Ouest, est due à l'esprit de parti outré el poussé
jusqu'au ridicule? Que sont les intéréls des partis politiques
3 us nm
PR eme.
Cher Monsieur Frémont, -
Les bonnes relations que nous avons
cntretenuez autrefois, alors que j'étais
l'adolescent inexpérimenté et que vous
étiez pour moi le grand ami bienveil-
lant, me donnent le droit, n'est-ce pas,
de vous faire part de 1z grande sur-
prise que me cause votre attitude, à
l'égard du mouvement des Jess
Libéraux.
Que vous vous étonnier un peu et
que vous le disiez à vos lecteurs, par-
pr J'avais prévu cela J'avais pas-
sé et repassé toutes les objections que
vous faites: nous ne Sommes pas si
sots ni aussi pervertis que vous l'im-
pliouez.
Mais que la Liberté refuse à notre
où seront en jeu groupe et à M. L-P. Gagnon la liber-| à se platndre de votre campagne.
des intérèts religieux el nationaux. Fuir dé trls débats, refuser\te de servir notre cause commune par | Elle est de telle qualité qu'elle les
d'y prendre part et de dire à nos lecleurs où se trouve la vérilé| des moyens différents de ceux qu'elle | servirait à souhait s’il n'y avait plus
préconise, cela dépasse mon attente |
et celle de nombreux compatriotes |
bien pensants. |
Je conçois que vous ayez sursaunté. |
excuse le lion, qui poussé par un ins-
tinct, bondit sans pitié sur sa proie,
on excuse le lion, dis-je. parce qu'il
n'a pas la belle intelligence d'un ré-
dacteur en vedette.
Dans ‘’Pages de Critiques et de Doc
trines”, Paul Bourget affirme que le
Duc c’Alençon avait la ‘passion de
rvir'”. (C'est précisément le mot
se
comparés à nos intéréts religieux et nalionaur? Des quantités SN à jt le
négligeables, sans doute. .
ne s'applique pas aux partis politiques.”
Sept ans plus tard 20
tions provinciales géné
principes :
La loi du Christ (loi du pardon) | gévouement à notre cause, dont ont
fait preuve la plupart de ceux qui ont
avril 1920 peu avant les élec-| suscité la candidature de M 2.
des. la Liberté réaflirmait les mêmes! ©8208 51 y a des dffactions
ne faut pas s'en étonner. Nous avons
conscience qu'il peut y avoii des fai-
“{ y.a beau temps que le sort des partis poliliques nous!|besses chez nous, mas nous avons a
laisse indifférents à la Liberté; nous n'éristons pas pour faire] conviction de servir.
de la politique de partis. Il nous semble que ceux des nôtres
qui croient encore au parti politique comme à lévangile
feraient bien de reconsidérer leur credo politique: il sonne le
creux.
verrez dans la vie des jeunes de m2
ONE Mie do des lines
remarquez-le*- nous n'en tirons
pas de vaine gloire, ce dévouement 2
_Maîs, si nous ne voulons pas faire de la politique de parti," la cause nous a été stylé dans l'esprit
nous ne pouvons sûrement pas nous désintéresser des affaires et le coeur depuis notre enfance par
publiques de notre pays, car c'est bien dans l'assemblée légis-
nos mères, nos prêtres, nos éduca-
Si vous voulez être impaitial, -
teurs et nous sommes fidèles, ne vous
lative que s'est commis le brigandage qui porte atteinte à laler dépiaise.
foi de nos enfants par l'école neutre, et à notre fierté nationale
par l'exclusion de la langue de ceux qui ont apporté la’ civili-
salion à ce pays, ct qui sont encore le tiers de la population.
“Ne pas faire de la politique de parti ne veut pas dire se
croiser les bras.
comme individus, nous avons aussi des devoirs comme ciloyens
d'un pays, et dans les circonstances présentes, noîr- dignité.
lout comme notre intérêt, demandent que nos décisions prali-
ques soient prises à la lumiere d'intérêts supérieurs à l'intérêt
des partis politiques, quels qu'ils soient.”
Si vous répondez qe nous n'avons
rien accompli de bien éclatant. j: vous
avouerai que c'est précisément parc*
que nous r’avons pas pri: les bons!
moyens de devenir véritabiement effñ- |
N'oublions pas que si nous avons des devoirs| caces.
Ce n'est pas en maugréant contre
les adversaires aue nous £ vancerons.
Cette tactique a été mise à l'essai!franc parier,
pendant vingt-cinq ans et plus chez
nous. Ce r'est pas vous ni même
toute la race canadienne-française qui
En voilà assez, croyons-nous, pour prouver que depuis ses | saurez conva‘ncre un adversaire anta-
débuts jusqu'à aujourd'hui, la Liberté n'a pas dévié de sa ligne
de conduite vis-à-vis des partis politiques. Tour à tour approu-
vée par les uns, blämée par les autres, selon que son attitude}...
gonisé.
Montrons de la valeu:, d :veloppons-
nous, ne nous contentons pas de chan-
les belles pages de noire histoire,
indépendante favorisait ou heurtait certains intérêts personnels! ne prenons pas des bougies pour des
ou: de parti, elle a voulu. sans cesse s'élever au-dessus de ces}soleils et encore moins ne diminuons
contingences, pout ne considérer que les intérêts permanents pas le prestige de nos propres frères
franco-catholiques.
Que l'on ne s'é ‘tonne donc pas de Ta voir de nouveau sur Ha]
breche pour combattre, le funesté esprit de parti.
en cela qu'accomplir son strict devoir
buts qui lui om ete assignés par ses fondateurs aupres de notre
groupe imanitobain.
Donatien FREMONT.
lnotre vslime personne lle pour
fe Dr Royal. qu'une candidatu-
Îre conservatrice française dans
La Vérendrye constitue dans le
cas présent-une maladresse.
eme — —
CES ES CANDIDATURES
“Donnons au moins au par ii
libéral, écrivions-nous il a a
quinze jours, le temps de faire
amende honorable. de manifes-
ter le repentir de ses fautes et!
d'expulser le venin qu'il porte!
éncore dans son ofrganismMe.| On rous demande de divers côtés
nd il se sera suffisamment | 4 publier le discours de Mile St
puritic et qu'il aura donné des | Landry qui Fa classée première au
mrques tangibles de son bon | concours d'éle di Mois dt
vouloir, noûs pourrons alors! ont la presse à fait tant d'éi
sans imanquer à Dot dignité, | Nous prions nos leet de inilenter
repondre à invites. Pour! peu Cette pièce d'éloquence figu-
l'instant. le geste notts parail | rera dans un numéro- spécial à lacs:
are! mature. N sion du soixantenaire de la Coniédé-
Ce tte attitude “prudente etl ation, oui paraitia bientôt
ficre” s'applique tout aussi _.
a la candid: ture du Dr Alouzo
Roy qu'à celles de MM. Joscph | À la recherche de Nungesser
Landry ct Louis- Philippe. Ga- et Coli
LILI LR
: Pour ce qui est de l'opposi-: New-York — Le philanthrope Da-
tion faite à M. Talbot dans Lalniel Guggenheim a donné $25,000
Vérendrve, notre sentiment res- | pour financer l'expédition aérienne
te le même. Qu'il se suit pro-|qu doit partir pour faire des recher-
duit depuis une candidature |ches afin de retrouver les avisteurs
conservatrice elle du Drifrancçcais Nungesser et Coli, perdus, à
faut Royal ne change rienlce quon croit, dans file de Terre-
à laflaire. Nous n'avons rien|Neuve. |
à reprocher au purti conscrva-| Trois personues formeront l'équipa-
teur provincial au point de vu-|se de l'aéroplane qui servira à l'expé-
natioual: c'est simple justice de |étjon Toutes fourniront leur travail
l'affrmer., Mais cela ne nous [gratuitement et l'argent ne servira
cmpèche pas de croire, malgré |au'à défrayer les frais de voyage.
Le discours de Simone
Landry
M5
2 —
s'ils ne montent pas la même monta-
gne que nous pour voir la mer.
Ce n'était pas mon intention d'en-
Elle ne fait{trer dans Ja polémique, mais j'ai tenu
et repondre à lun desfà vous faire remarquer que nous
n'avons pas lancé le mouvement qui
vous fait si grand’ peur avant d'avoir
réfléchi.
En terminant cet exposé nécessai-
rement incomplet de mes vues en
cette matière, je tiens à vous dire
aue Louis-Philippe Gagnon sera no-
tre représentant au prochain parie-
ment provincial et que nous vous ten-
drons la main comme toujours quand
DOous VOUS Verrons. É
Veuillez de croise,
Votre dévoué,
Narcisse FOURNIER.
—
I La lettre de M. Narcisse Fournier
trahit beaucoup de jeunesse et de frai-
che imagination Cest charmant,
mais les fleurs de rhé‘orique ne sont
pas des raisons et notre jeune agi,
hélas! ‘ne nous convainc pas S'il
avait lui-même prévu notre étonpe-
ment, s'il conçoit que nous ayons sur-
sauté, s'il admet qu'il y a des défec-
tons dans le groupe des “Jeunes
Libéraux” et qu'il ne faut pas s'en
étonner, de quoi donc nous fait-il
grxf
C'est. dit-il de bondir comme un
lon. Avec la meilleure bonne volunté
du monde, le directeur de la Liberté
avoue se reconnaître difficilement dans
la peau de ce “lion qui, poussé par un
instinct, bondit -sans pitié sur sa
proie”; mais enfin, si notre jeune ami
> tient absolument
Avec une belle désinvolture, M
Fournies jette la pierre à ses ainés
et à leurs chefs Voilà vingt-cinq ans,
prétend-il que nous maugréons Cgr-
tre les adversaires sans avancer. Ce -
te assertiop serait insultante si elle! gnon
“Ne nous con- mhsepe enereeniatoahet
[at plutôt naive.
mais je vous reproche de bondir. = Blanc
j
À
ciales d'Ontarie,
ces prêtres et ces éducateurs ? | L'attitude de la “Liberté” est
. D. F. sage. Elle commande le respect
—— #6" 2D0-2———— des politiques. Elle
Même sujet. Bre Vert
Vos amis politiques n'auront guère
al
Ë
$
fert à l'encontre.
11 en est dont l'esprit de parti fait
[2e ven tante que dautres r'oppe.
gré tout tandis que d'autres s'oppo-
Pauvre grande croisade contre l'es-
prit de parti qui n'eboutit qu'à de si
piteux résultats! { ro scolaire, telle qu'elle se trouvait
Ceux qui n'ont pas été endoctrinés | après l'amendement Thornton, dont
pendant cette belle croisade restent | nous ne sommes pas plus responsa-
partisans et se savent tels. De ceux | bles que vous, ni que ceux qui con-
qui l'ont subie, il en est qui se butent | duisent le parti présentement, l’admi-
contre un parti — c'es: encore une | nistrat-on de cette loi scolaire ne nous
manière de rester de l'autre — et se|fut pas plus dure sous Norris que
croient indépendants, et il en est C’au-|sous Bracken.
tres qui se choisissent un parti en] Sous ce dernier régime, les mé-
toute indépéndance, et qui, sans abdi- :mes fonctionnaires firent comme ils
quer cette indép dance, restent hom- | avaient toujours fait, furent tracas-
mes indépendants tou‘ en s’'associant | siers et leurs chefs, tout en nous assu-
librement avec qui respect a les ter- | rant toujours de toute leur sympa-
mes de leur assoc:ation. thie, leur donnaient toujours raison
Vous pouvez classer n'importe qu "'utôt qu'à nous.
sous l’un quelconque de ces titres. Je ‘ cela vous !- savez comme nous.
ne crois pas qüeé vous ayiez choisi le| Et 1:_: -vez (galement ce que M.
meilleur pour votre journal. Gagnon vou! it dire, mais en campa-
Le présent parti libéral n'offre rien | gne électoraic on profite de tout évi-
de moins au point de vue de nos | demment.
droits qu’ gutre parti, soyez-en Par respect pour des principes que
sûr. Et UNE paf ai sr des eu. vous ne sembléz pouvoir définir bien
tres. Il offre même plus de garanties | clairement puisqu'au lieu de le faire
de respect de nos droits qu'aucun au-|vous vous amusez à des petits argu-
tre parce qu'un élément de chez nous | ments ‘ad hominem', assez vilains
y fait sentir son influence et que cet | d'ailleurs, par respect pour ces prin-
élément est le meilleur élément de!|cipes dont ceux qui en ont le plus en
chez nous, de beaucoup le meilleur | parlent le moins, vous écartez ceci
ane he meût guère l'ambition nous | et nous offrez quoi? Ca?
sommes d'allures phitôt modestes, Pour le plaisir de vous insurger
vous le savez, on le sait peut-être | contre un passé dont il ne reste rien
trop mais qui ne se compare à au-|qu'un état de choses qui a valu juste-
cun autre par la détermination, le’ ment leur déchéance à ceux qui le
le désintéressement et | créèrent, mais que ceux qui devront
le droiture. gouverner ne changeront certaine-
Dans ce présent parti, Norris ne | ment pas d'ici longtemps, vous voulez
compte plus et ne comptera plus par-|que nous nous départissions de ceci
ce qu2 cet élément a donné et don-|et que nous nous contentions de rien
ner encore. que ça? Y pensez-vous ?
Dans ;ce AR PA does Atûns Visisent 5e d'où Dan ln Soie 116:
des sympathies sûrs telles qu'on &u-| voir tant de fierté nationale et reli-
rait grand peine X en trouver de]|gieuse, tant de principes, tant d'indé-
pareilles dans les autres partis et que | pendance pour n'arriver en fin de
d'ailleurs on n'y cherche que pour les | compte qu'à une solution comme celle
utiliser à des fins spéciales surtout. sé vous proposez. Est-il donc vrai
Dans ce présent parti on nous res- nous devrons toujours payer no-
pecte parce qu'on nous sait aussi . ridicule manie du pataugeage
On ne changera pas parce que nous |par des ‘spéssntatiee inadéquates
re changerons pas, on obtempèrera à et de valeur moindre que notre valeur
nos justes revendications parce qu'on ‘moyenne ?
saura qu'une brindille ne nous les fera Que craigrez-vous donc tant? Les
pas oublier. hommes libres? Sachez qu'ils sont
Ceux qui ont une aversion inyin-{moins dangereux que les autres s'ils
ciblé pour ce qui est libéral, libéral | sont généralement moins utiles ou
Norris ou libéral tout court, n'y vont | plutôt moins ‘‘utilisables”.
pas toujours carrément. Présente- Franchement, M. le directeur, après
ment ils se prévalent surtout de leur | l'élection, lorsque le parti libéral aura
grand attachement pour M. Talbot | le groupe le plus nombreux, peut-
Ce aui en somme est mieux. M. Tal- | être la majorité en chambre, que nos
bot mérita en 1916 une récompense | amis Gagnon et Landry en seront,
qu'il a reçue comme ceux qui mérité- | croyez-vous que les choses iront bien
rent un châtiment le reçurent, aussi. | plus mal pour nous?
Après, à nos yeux, il ne fut pas vi- Voyons, ce n'est pas crainte pour
lain député, nous avons vu bien pire | nos droits ?
et nous verrions bien pire si les cho- Alors c'est toujours pour
ses tournaient au gré de la Liberté | Norris?
le 28 juin Mais ses mérites ne furent Cela rappelle la | ifique fessée
pas tels qu'il :it mérité mandat éter- | qu'un roi fit administrer à La mer Ù y
nel, et si ses mandataires le lui reti-|a bien des années. Je doute que
rent ce mandat, ils le font peut-être | l'Hélespont se soit corrigé de ses dé-
pour des raisons actuelles et non pas | fauts depuis.
pour blämer un acte accompli il ya Vous nous mettez dans l'obligation
quelque dix ans de proposer au peuple de choisir eu:
Sous couvert de cette grande admi-|tre notre parole et la vôtre. Nous
ration pour M. Talbot on veut consa-|leur dirons que nous savons le pré-
crer son parti en grâce — n'osant pas | sent parti libéra! dfme de leur con-
mentionner l'autre par une pudeur!fiaice. Nous croira-t-!}, ou bien vous
bien compréhensible — et vous vous!|croira-t-il, vous, qui lui dites qu'il ne
indignez, M. le rédacteur, de ce que |faut pas lui donner confiance parce
M Gagnon ait osé ‘écrire que ‘les |que vous ne savez pas s'il en est digne.
Canadiens français n'ont pas subi Nous jui-dirons ce que nous ssvons,
plus d'énnuis gous l'administration | il aura à choisir entre cela et ce que
Norris, au point de vue scolaire, que | vous lui dites ne pouvoir déterminer
sous l'administration Bracken” J1|è la lumière de vos principes pourtan
aurait valu mieux compléter vu qu'on |assez longuement emwæanchés.
avait affaire à gens qui ne tiennent] Nos gens duront à choisir entre vo-
pas à nous boy sua plus qu'à moi-|tre parole et la nôtre. Vous n'avez
tié. pas mission, quoi que vous puissiez
Vous avez fort bien compris, M. !:|croire, de faire la pluie et le beau
directeur, le sens voulu par M Ge- temps et de nous imposer des médio-
Fe lorsque -nous offrons une qua-
punir
Mt -éinéincutable où inéiseutés.
…
ner
Les trains quittent Winnipeg à 7 h
du matin et à 5 h. 10 de l'après-midi.
tous les jours, et la route Lord Sel-
ù .
Avez-vous constaté que 1es ga-
gnants des et des bourses
au Collège de sont
trois membres du Cercle Provencher ?
La conclusion n'est-elle pas que cela
Rs MO
l'A. C. JE C.? Honneur donc À nos
œnmeradés Laveis, Lévellé st Ber-
nier!
. +.
Le jouti S-èves Den dentste œhe-
Bd) cmt dharent y et ve
J.C. Le Comité régional, l'Union Ca-
nadienne, le clergé étaient représen-
tés. Ce fut une fête intime acéjiste.
Nos félicitations et une cordiale bien-
kirk est en excellent état pour les|venue aux vaillants membres de: Rit-
automobilistes.
Il n'est pas un s:mblant de raison
peurquoi lon doiva vous faire con-
fiance plutôt qu'à nous. Nous regret-
tons que demandant à nos gens de
nous faire confiance il faille par le
fait même leur demander de ne pas
avoir confiance en vous. Nous au-
rions préféré éviter ce conflit pour
vous conserver quelque autorité pour
les luttes à venir, mais vous l'avez
voulu vous-même et c'est surtout vous
qui en souffrirez.
Vous vous aliénez par votre cam-
pagne, M. le directeur, inutilement et
inconsidérément vos meilleurs colla-
borateurs chez hous. Tous les nôtres
s'occupent activement d'oeuvres na-
tionales et religieuses de toutes sor-
tes et sant la grosse proportion de
ceux qui s'en occupent ici.
Cela vous devriez le savoir aussi
et ne pas lancer à travers votre cha-
peau que si notre ami Gagnon est élu,
“il ne représentera pas le vrai senti-
ment canadien-français'”’. Vous vous
êtes d'ailleurs si lourdement trompé
sur l'opinion de nos gens, il y a moins
d'un an, que vous devriez vous abste-
‘nir de faire pareilles assertions.
Vous croyez aussi connaître des dé-
fections dans nos rangs. Nous de-
vons vous enlever cette douce illu-
sion. Il n'y en a pas. ,Le compte y
est.
Quelques adhésions nous manquent
que nous aurions pu espérer. Nous
aissons les raisons de quelques-
uns de ces abstentionnistes. Elles ne
sont pas toutes à leur honneur. Ceux-
là parlent beaucoup conscience. D'’au-
tres qui n'en parlent pas nous sont
opposés par conscience. Il est à re-
marquer que ceux-ci sont presque
tous de bof vieux bois conservateur.
Comme chacun a bien sa conscience
à lui!
M. le directeur, nous vous recon-
paissons le droit de faire de votre
journal un organe politique mais nous
nions le droit de le faire passer
pour une organe n'émettant que pa-
roles sacrées, infaillibles et inspirées.
Ce serait tromper les gens et nous
croyons bien que conscient de cela
vous ne le voudriez pas.
Vous craignez la tromperie — on
nous a si souvent trompés -— mais
r'allez pas nous traiter comme des
trompeurs, nous ne le souffririons pas.
Les trompeurs d'une face verdâtre
mais gardant une attitude des plus
dignes avalent chenilles et couleuvrès
arrosées de vinaigre. Pas nous.
N'ayez pas peur non plus qu'an
nous trompe. On n'y songe pas et
même si on y songeait on craindrait
de le faire.
Et nous marchérons de l'avant fiers
de ce que nous accomplirons par un
représentant tout À fait digne de
nous, dont nous sommes fiers et qui
ne craint aucunement notre abandon.
Veuillez me croire, Monsieur le
directeur,
Cordialement vôtre,
Marius BENOIST.
= —
M, Marius Benoist ne s'atténd sans
doute pas à ce que nous répandions
point par point à sa longue épitre,
ni que nous nous attardions à en rele-
ver toutes les insinuations. Plusieurs
passages, d'ailleurs, nous paraissent
plutôt nuageux et nous ne voulons
pas risquer d'en faire une fausse in-
terprétation, puisque c'est . précisé-
mént ce que l'on nous reproche à pro-
pos de la lettre de M. Gagnon.
Nous ne sommes doué d’ don
Particulier pour pénétrer les esprits,
ct comme tous nos lecteurs, nous
n'avons lu, la semaine dernière, de
la pensée de notre correspondant, que
ce qu’il en avait écrit. Quand on parle
de Norris, d'opposition à Norris, d’ad-
miaistratif Norris, personne ne son-
ge à,jouer sur les mots: c'est bien la
loi, l'odieuse loi de 1916 que l'on a
en vue. Les ‘Jeunes Libéraux” eux-
{
TE . *
ae se dr M te
c'est ainsi qu'ils le comprenaient il
n'y a pas encore trois mois.
M. Benoist feint de me soupçonner
‘avoir des amis politiques dont je
servirais la cause. Il sait fort bien
que c’est là une petite faussété.- La
preuve n'est plus à faire de l'indépen-
dance de la Liberté vis-à-vis des par-
tis. Il suffit d'un peu de mémoire.
Au cours des trois ou quatre derniè-
res années, notre journal s'est trouvé
en opposition de vues tantôt avec-les
conservateurs, quand nous avons @p-
puyé la candidature de M. Préfontai-
ne dans l'élection particlle de-Caril-
lon, tantôt avec le gouvernement pro-
gressiste, à l'occasion d'une série d'er-
tücles dont M. Benoist n'a certaitie-
ment pas perdu le souvenir. -Si-c'est
maintenant le tour de nos amis Nbé-
raux, à qui la faute?
Quant aux élections fédérales de
l'automne dernier, si l'attitude dé néu-
tralité de la Liberté n'a pas eu J'heur
de plairé à, M. Benoist, elle a rêçu
d'autres approbations plus précieuses
et mieux motivées.
La question qui se pose aujourd'hui
nous touche de plus près. Elle
que, comm: le signalait plus haut M.
Narcisse Fournier, une nouvelle orien-
tation nationale, et notre correspon-
dant nous paraît avuir la vue étrarige-
ment courte quand jl ne voit dans le
présert débat qu'urie opposition
‘idécs mesquines entre la Liberté et
le groupe des ‘‘Jeunes Libéraux".
Les principes que nous avons eXpo+
sés dans notre article du 25 rai,
‘Avant ies élections”, personne en-
core ne les a réfutés. M. Benoist se
contente de nous affirmer que dans
le présent parti libéral, “Norris ne
SE plus et ne comptera plus” ,
parce que lui et ses amis s2ront là.
M. Robson, lui, déclare que “la pro- ,
vince et le parti auront encore le
bénéfice de son expérience ‘et de son
jugement sans, égal”. Qui - faut-il
croire ? Ti
Est-ce vraiment faire de la Liberté
un organe politique — ou un orgäne
personnel -— que d'exposer l'opinion
de l'immense majorité de nos Copa:
triotes manitobains et de prendre l'at-
titude que notre confrère le Droit,
d'Ottawa, adoptait lui-raême, l'an der-
nier; vis-à-vis des conservateurs per-
sécuteurs de la province d'Ontario?
“Attitude prudente et fière”, dit-le
Droit, dônt l'expérience dépasse sûre-
ment celle de nos jeunes amis. -
Cette attitude, d'ailleurs, n'est pas
nouvelle, N'est-ce pas déjà celle que
prenait la Liberté —— sous un autre
directeur — aux dernières élections
provinciales de 1922, à propos de
l'unique candidature libérale -cuna-
dienne-française qui surgit alors? ft
M. Benoist et s°s amis y D TR ns
à deux mains.
Toute cette belle indignation fac-
tice des “Jeunes Libéraux” est, en
vérité, fort peu convaincante lors-
qu'on se rappelle — et ce n'ést un
secret pour personne -- que la candi-
dature de leur président devait être ”
au début nettément libérale-progres-
siste et que seule la discipliné ‘de .
parti feu: # imposé decki-tour à gau-
che.
11 n'y a pas de défections dans ños
rangs! r'écrie fièrement M, Benoist.
“S'il y a des défections, il ne faut pas
“en étonner”, admet plus modeste-
ment M. Fournier. Chers amis, sc-
cordez vos violons! ir
. ..B. F.
DD Gomes
#
Retraite pour j à
nn mes
Le jeudi 21 juillet prochain ‘sera
préchée, au couvent, utie fetraite fer-
mée pour jeunes filles. Bienvenue à
toutes. Invitaton spéciale & nos an+
ctennes élèves. !
ee ee tt a fé
#
PE;
HIUUHIT
î
s les la nation, Voix du Seigneur,
de pelouse et affirmant sa présence ét sa provi-
bautes comme un protectrice agissant en faveur
l
un de tous ceux qui le méritent. Car le
su six pieds là-dedans, | royaume des cieux souffre violence et
tout cas, et presque | veut être conquis avec énergie.
la base. Avons-nous vraiment mis en oeu-
lie . vre toute l'énergie voulue, dans cet
à espace de soixante années qu'on va
célébrer un peu à côté de nous? Ré-
ponse trop longue pour aujourd'hui.
Mais elle a son intérêt, et je voudrais
ll
Hi
à
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il
dans le futur. Etant donné le
Ï
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F
Qu'est l'Anglo-Canadien d'aujour-
Ï
Ï
fr
l
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fe
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ÿ
É
Ë
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8
F
sées, est-il en voie de devenir, de se
fixer, ou bien si les deux forces, se
‘au sujet du canot qu'il vous avait
Qui
pourrait s'y objecter, et pour quel
C'est du reste mou petit garçon qui
a eu cette pensée, et je lüi ai répondu
qu'il n'entend rien à la politique, ce
qui l’a laissé rêveur et pas convaincu.
.:+ . Mais pendant ce temps, d'autres clo-
ches sont survenues tout à coup, dans
_ les chevaux et “les flatter dans la
face" comme un petit paysan. Les
aînés s'intéressaient davantage aux
nouvelles arrivées, et cherchaient À
en tirer des sons en les frappant du
poing. Hélas, le poing populaire est
” faible et le bronze anglais bien dur;
ii ne‘ sortait qu'un soupir anémique
comme certaines majorités du temps
Ë
Du reste, ces cloches nouvelles, au
nombre d'une vingtaine, étaient bien
plus petites que les grosses “mères”
arrivées mystérieusement durant la
nuit, et l'on voyait bien que c'était
un simple bateau qui les avait ame-
nées, avec leurs deux lettres à l'huile
noire “PB.” qui signifient ‘“Parlia-
rent Buildings” sans aucun doute,
puisqu'elles y sont venues tout droit,
voir. Elles étaient une
et il en viendrä encore da-
car 53 cloches comme les
grosses, il faudrait bien bâtir
tour et M. Hermann Pelle-
ur civil au crayon magji-
FEt
4
plus en plus petites, je
repousseront toujours ?
Enfin, chacun pose la question avec
les mots qui se présentent à lui, mais
elle est d'intérêt général. On l’a déjà
posée bien des fois, résolue autant de
fois, mais je crois que c'est encore
ce mauvais poète de Benjamin Sulte
qui a donné la réponse la plus ramas-
sée, surtout si elle veut dire plus
qu'elle ne dit: |
“Le mot ce l'ayenir est dans le
peuple même."
Car le peuple ne s'est pas créé tout
seul et n'est paÿ Capable, même de-
puis qu'il est devenu souverain, d’a-
jouter une coudée à sa taille. KE* il
est capable de subir de bien pénibles
diminutions de confort et de dignité
humaine: le peuple, jrar’exemple, qui
n'arrive pas fièrement à l'église, le
dimanche matin, en beaux habits et
voiture vernie, mais qui s'est laissé
imposer de filer humblement à l'usine
ce jour-là comme les autres, au mé-
me titre que les autres bêtes de som-
me du voisinage.
Revenons au carillon, ce sera peut-
être plus gai. Saviez-vous que cette
invention remonte au quinzième siè-
cle et naquit aux Flanures et dans les
Pays-Bas? C'est une des plus belles
choses de l'Europe que d'écouter
chanter les cloches mélodieuses d’An-
vers, de Bruges, de Delft ou d'Ara-
sterdam. Les notes planent et s’en-
roulent en arabesques sur les beaux
paysages placides et reposants qu'ar-
rose au loin la Manche. Un poète
d'Armentières a écrit pendant. la
guerre: -
‘Oh! par les calmes soirs d'été, sur
le fond cristallin du ciel blondissant,
ces vieux clochers pointus, ces che-
minées d'usine, ces toits rouges, ces
À
t bâtir encore des écha-
tis pour supporter le
l'Empire.
raconte le mot suivant que
compatriote aurait eu, à son
habitude. Quelqu'un lui àyant de-
SN, mandé en anglais si c'est lui qui est
; responsablk: de la montée des cloches
dans la tour, il répondit non sans
$
toits bleuâtres: et cette petite voix
qui monte, frêle, cassée, si vieille,
chantant sa chanson démodée!”
Pas mal dit, mais Victor Hugo a
fait mieux, lui qui s’entendait telle-
ment mieux à capter et à interpréter
les voix de la nature qu'à ergoter avec
les philosophes et têtes chaudes de
son temps:
ol
F
Fu
il
! malice: “Eh oui, si quelque chose cas-
se ou fonctionne mal, c'est moi qui
perai responsable Mais si tout va
bien, ce ne sera pas moi” Parole
profonde et formule complète
Nous aurons done un carillon, em-
blième de la concorde nationale. Je
n'aurais pas cru ce projet si près de
‘sa réalisation, il y'a trois ans, lors-
-que le sénateur Bradbury en parla
devant roi p'ur la première fois, non
dire que je trouvais une grande va-
leur à cet Ecossais sans relief qui
touchait une pension de guerre pour
conduit un régiment jusqu'à
J'étais peut-être injuste en-
e lui, car il souffrait réellement
3 affection cardiaque qui l'a em-
FE
Hal
;
x
Ü
(
Êss
Ë
î
Ë
È
J'aime le carillon dans tes cités an-
‘tiques,
O vieux pays gardien de tes moeurs
domestiques,
Noble Flandre, où le nord se réchauffe
engourdi
Au soleil de Castille et s'accouple au
midi!
Le carillon, c'est l'heure inattendue et
Que l'oeil croit voir, vêtue en dan-
seuse espagnole,
Apparaître soudain par le trou vif
et clair j
Que ferait en s'ouvrant une porte de
l'air; |
Elle vient, secouant sur les toits lé-
thargiques
Son tablier d'argent plein de notes
magiques...
Par un fréle escalier de cristal invi-
sible
Effarée et dansante, elle descend des
cieux. !
L
Allons, tant mieux, dirait l'autre,
mais qu'on nous joue un peu des airs
français là-dessus!
Ernest BILODEAU..
14}
«k #
“hote du Fe. P. Ducharme, |
j
PE
È
Ë
10
1
! ;
plus Agé que l'annonceur.
Tous ont trouvé votre voix très natu-
Amérique, sur le tremblement de ter-
re les aéroplanes, les chemins de fer.
Et Pierre! il était Join de s'attendre
à une réponse à sa lettre, par radio,
demandé. Je n'ai jamais vu un hom-
me si heureux. On en a parlé long-
temps, et on en parle encore, on me
demande quand vous reparlerez. Le
résultat est que beaucoup d'Esqui-
maux vous écrivent aujourd'hui, ceux
qui sont ici du moins.
Les lettres d'Esquimaux
SUZANNE, vieille de 70 ans, bapti-
sée en 1917.
(Première lettre). — En entendant
ta voix, il me semblait te voir. Tu
parlais si bien, comme un vrai Es-
quimau. J'étais très heureuse. Je
prie pour toi beaucoup, chaque jour.
Au revoir. Si tu parles encore (par
radio), je ne mânquerai pas de t'é-
couter; tu me répondras. Je veux
avoir une paire de lunettes, de celles
aui font voir clair, parce je veux en-
core coudre des habits. (Seconde let-
tre). — L'enfant de ma cousine est
Lien ’ualade. Je pense à toi, je vou-
drais t'entendre parler au radio. Thé-
rèse aussi et son frère, les époux Ke-
mokserar et leurs enfants et Pierre
et Jean. Quand tu as parlé, Kilerte
(une autre vieille baptisée en 1926)
a dit: “bonjour”, et Simon (enfant
de choeur) dit bonjour à tous les
prêtres, c'est eux qui font vivre no-
tre âme. Merci. Comme je suis
heureuse d’avoir entendu le prêtre.
Notre grand Père, comme il est bon.
THERESE, jeune fille de 20 ans,
baptisée en 1917.
(Première lettre, écrite le soir mê-
me du message, 26 février . — Arsène
Turquetil, toi qui as de la barbe, toi
qui est mon grand Père, c'est ta pe-
tite fille, l'orteil, La vieille Affaire,
Thérèse, qui t'écrit. En t'
elle a l'envie de jouer, elle a le spu+
rire aux lèvres et est bien heureuse
de te dire ce qu'elle veut. C’est à toi
que j'écris, j'en suis heureuse. Le
Père Ducharme a mis ta photogra-
phie au-dessus du haut-parleur, c'est
bien de sa part. On la voit quand
on va à la mission. Merci Il va
venir d'autres prêtres pour instruire
.tous ler Esquimaux. Quand tous les
Esquimaux croiront, quand tous nous
pricrons dans tout le pays, qu'on sera
heureux! Et les jeunes Pères s’ha-
bituent vite à parier l'esquimau. Mer-
ci... J'aide un peu les Pères. Le ser-
gent de la police, qui est le maître,
est très bon, bon chrétien et très in-
telligent. Sa petite fille et -son fils
commencent à parler esquimau. Ils
sont très aimables. Le dimanche ils
récitent les prières en entier avec
nous. ° J'ai fini d'écrire. Au revoir.
C'est tout. C'est ta petite fille Thé-
rèse qui écrit à son grand Père.
(Deuxième lettre). — Notre mère et
les miens sont au loin. Je n'ai pas
de nouvelles d'eux; ils ne sont pas
encore venus. Thérèse aime sa mère,
sa soeur et es frères et les Esqui-
maux. Mais elle a encore bien peu
d'esprit. Quelquefois elle ne sait pas
quoi faire et doit encore perfectionner
ses pensées. Ceux que tu as baptisés
à Chesterfeld sont tous bons chrétiens
et ne pèchent pas. Ils suivent fidèle-
ment Jésus. Donc tu as parlé au rà-
dio. C'est comme si tu avais parlé
trop peu Quand tu as dit: “C'est
tout”, nous avons crié: “Encore. en-
core, encore, encore. Tu as parlé,
RE UN |
Les cors rendent les pieds
impotents et font de la marche
une torture, mais Holloway's
Corn Remover est un remède
sûr et à la portée de tous. :
:]
Au revoir, je ne
Mais combien je voudrais te
Wager Inlet, mais je veux absolu-
ment te voir; si je ne te vois pas,
c'est que cela sera impossible. C’est
Issaluk, l’ignorante, qui t'écrit cela.
si
VhL à ù 4 «
RE PR EE RE AE
|
es: de ln provinés: | mA line
à qui vien ‘HI est un autre danger pour la pu- DE 0e
et-qui ); rons votre attention. Nous LENS out
prient, je leur dis Nous]. Come nous l'avons déjà annoncé. | 5, & l'automobilime, Ce tmagination et poésie, amour den
nant. Merci, et à toi, J'ai] 9e 4 résolu d'envoyer, cet 46, plu-| 4e bornes ent un véritable progrès et} Longs et plats c'est sagesse, rai-
hâte de te revoir, tu es bien loin. Les | Mere Pritétseurs des écoles publi | eng qrinappréciabies services. Bien[son et toutes les facultés graves de
chrétiens sont fervents. Lez. Enqui- | 1% suivre des couts de français dans | 44 chefs de famille l'utilisent noù l'esprit: ASE
maux commencent à connaître Jéaus. | Québec. Cela leur permettra d'ac-|,jement pour leurs affaires mais Larges et courts: colère et brusque-
Pâques approche, Notre mère vien-| AU" jne Connaissance plus parfaite |escore pour procurer une honnête |rie, controversë, opposition et entête-
dra peut-être, mais elle est loin, 2e la langue, de la parier avec un | uraction à jeurs enfants, et Nouslments ts
n'a pas de chiens, c'est bien dur pour | ®°Cent Plus pur, et partant d'en faire |jé, en félicitons. D'autres, malheu-| Eten colorés: vertu, santé, bonheur,
elle. À predler d'autant mieux leurs élèves. | sement, font à cet égard preuve courage, lbéralté:
MARIANNE, vieille de 60-ans, bap-| Une note du “Herald” de Montréal | que insouciance coupable et lais-| Durs et cassants: colère, cruauté,
tisée en 1917. publiée la semaine dernière, souligne | sent jeurs fils et leurs filles entre-|rixe, meurtre et querelle:
Marianne écrit à s08 grand Père. | *n# cette innovation: Elle sera utile | eng avec les premiers venus, en Recourbés en forme de griffes: hy-
Elle l'a entendu quand il a parié….|à Plusieurs points de vue. Cest d'a-|Gehors de toute surveillance, des lpocrisie, méchanceté:
entendu comme si tu | P°rd une reconaissance que la langue | courses prolongées et dispendieuses. | Moüs: faiblesse de corps et d'es-
dans notre vie pratique actuelle. Cet-| songer que- courent les bonnes) ourts, rongés jusqu'à la chair vi-
grand Père, je te te initiative dénote ensuite que l'on | ,5eurs ? Qui ne sait que souvent le| ve: bêtise et libertinage.
grand boùjour. Tu apporteras ne met plus en doute la pureté de la | 4evoir de la sanctification du diman- | Enfin, voici qui est plus sérieux
petits souliers pour ma petite fille |l2n8ue telle que parlée dans Québec. |che est méprisé? . Qui ne comprend Noirs: manque de propreté!
Marthe, des souliers de cuir. Appor-| D'ailleurs, le témoignage déjà ren- ù
tes-en. C'est Marianne qui t'écrit. |‘ Par les personnages les plus émi-
viendra à une entente plus complète
et à une plus étroite solidarité.
Bref, ce sera, en petit, ce qui de-
vra se manifester de plus en plus, si
la province d'Ontario. se débarrasse
des préjugés qu'elle a cureèssés jus-
qu'ici.
le Manitoba aît jamais eu!
‘Elisez les candidats de Bracken dans Winnipeg:
HON. W.-J. MAJOR
MAX STEINKOPF
COL. ROYAL BURRITT, D.8.0.
Dr E.-W. MONTGOMERY
ee — —
Les dangers de l’auto
Le Progrès du Saguenay (M. l'abbé
A. Laliberté :
L'auto est une voiture pleine d'a-
grément et si rapide.
11 a tôt fait de développer chez les
voyageurs comme une certaine ivres-
se, de les griser en quelque sorte.
Griserie de la vitesse, griserie du
CE QUE DISENT
LES JOURNAUX LAVE 1 net
Le centenaite du Père : | et pour l’Ame.
l
8
Danger pour le
Lacombe Que d'accidents d'auto, mon Dieu!
L'Union (Edmonton): D
Nous apprenons avec beaucoup de Le : :
s mères connaissent facile-
a. PA br han à a t-Albert| nent les symptômes des vers
cupe Acivenent de préparer — | chez les enfants, et elles se pro-
pour le 3 juillet, » dernier | eurent aussitôt le remède
con-
Jour des fêtes du juBlié de la Confédé- |. j'Exterminateur des Vers
ration des provinces du Canada, — la
tbratiin du CS Be Por Le de Mother Graves.
combe. Nous ne pouvons pas encore
en donner un aperçu précis, mais tout
annonce que ce sera un événement re-
marquable.
11 n'est que juste que soit enfin ma-
gnifiquement honoré cet apôtre de
l'Alberta. Il ne fut point parfait.
Comme tous les êtres humains, les
plus grands saints eux-mêmes ont eu
leurs imperfections. Quelle différen-
ce pourtant d'idéal, de grandeur d’A-
me, entre ce prêtre qui venait en
plein pays sauvage pour enseigner
une vie plus haute, une morale divi-
ne, et ces autres blancs qui ne ve-
naient dans l'Ouest que dans un but
mercenaire et principalement pour le
profit qu'on pouvait retirer des four-
rures.
Et il convient que ce soient les ca-
tholiques et, parmi eux, les Cana-
diens français surtout, qui, lors de
ces fêtes de la Confédération, fassent
ressortir les valeurs spirituelles, divi-
nes, du passé, du présent, et de l'ave-
nir de notre belle province d’Alberta.
Noüus pouvons nous joindre à nos
concitoyens pour vanter, mettre en
L'expérience de l'Alberta montre le résultat de
“LA BIERE AU VERRE”
. La province de l'Alberta où la bière au verre est vendue dans les hôtels
licenciés, nous montre la réponse logique au problème de la vente de la bière.
Dans l'Alberta, la liqueur est vendue “comptant et sans livraison” dans
les magasins de la Commission des Liqueurs, et la bière, comme il est dit ci-
dessus, est vendue au verre dans les locaux licenciés, et vous pouvez aussi
commander une caisse pour votre maison.
Le rapport des ventes de 1 tan du gouvernement de l'Alberta pour 1926
€
indique le pourcentage suivant des ventes de chaque sorte de liqueurs par rap-
port aux ventes totales:
relief les progrès matériels accomplis.
Mais, pour nous, Canadiens français,
concentrons principalement nos pré-
Comparez ces chiffres avec ceux de la Commission des Liqueurs du Mani-
toba, tres les règlements restreignent la vente de la bière et favorisent la vente
de spiritueux plus enivrants.
? Les registres de la police indiquent les arrestations suivantes pour ivrogne-
nn a plus "gr rie dans les villes de Calgary et Edmo nton: do.
illuminer l'existence humaine des re- - + 2 actif
flets de la Lumière éternelle; ceux qui Li. Calgary Edmonton de l’Alberta
enseignent que le dernier mot de la 1921 (Sous la prohibition) 710 672 il CERN 1715
sagesse est, et sera toujours: Aime 1926 (Sous la bière au verre) .…. 389 208 1088... … 1148
Dieu par dessus tout et ton prochain
comme toi-même.
A quoi tient l'unité nationale
Le Patriote de l'Ouest (Dr P.-E.
Ayotte):
Nous. sommes des Canadiens qui
n'avons jamais cessé d'être fidèles à
notre serment d'allégeance; nous
avons toujours été loyaux envers la
couronne britannique et les institu-
tions de notre pays; nous avons res-
pecté, en toutes circonstances, les
droits de nos partenaires, de nos as-
sociés dans la Confédéretion. Aussi,
nous exigeons notre place marquée à
la table de la grande famille cana-
dienne. Que j'on sache bien que la
race fondatrice de ce pays n'accepte-
ra jamais de jouer !e rôle de porteu-
se d'eau et de parent pauvre dans ja
Confédération. Nous continuerons de
réclamer la reconnaissance pratique
de la plénitude de nos droits et d'af-
firmer toujours et partout notre vo-
volonté indéfectible d'enseigner à nos
enfants ‘la langue des ancêtres. Sur
cette question vitale nous ne transi-
gerons jamais, et nous ne cesserons
de lutter jusqu'au triomphe final —
Si la majorité anglaise du pays tient
au succès de la Confédération, «i elle
désire réellement la, prospérité du Ca-
.. I n’y a pas à parler de contrebande dans l'Alberta parce que les contreban-
diers ne peuvent rivaliser avec les vendeurs licenciés.
VOUS DEVRIEZ
ENCOURAGER LE RESPECT DE LA LOI ET DECOURAGEZ
LA CONTREBANDE .
PROMOUVOIR LA TEMPERANCE ET DIMINUEZ L'IVROGNERIE
En votant pour
LA BIERE AU VERRE
Au Manitoba, vous ne pouvez acheter la bièré qu'à la caisse, Si vous voulez ache-
ter une bouteille seulement, vous commettez un acte illégal. C’est par là qu'entre le
“bootlegger”. Pourquoi forcer à acheter une caisse quand l’on est satisfait d'un verre?
Ÿ
Quand la “BIERE AU VERRE” a été bannie, nous avons introduit :
L'AUGMENTATION DU COMMERCE ILLICITE |
L'AUGMENTATION DE LA CONTREBANDE
L'AUGMENTATION DES DISTILLERIES PRIVEES
L'AUGMENTATION DU MEPRIS DE LA LOI |
L'AUGMENTATION DES CHATIMENTS DE LA LOI
VOTEZ POUR LA BIERE AU VERRE
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re Le team, Vandicle. Orile &- jeunesse. Il se trouve bien é
de k srtéger mr. Uigsée nier sous, car Î y croit à peu ;
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on: de là ênm étend es En £ ® *: : KE,
À «gften EE 2e _ a les gâteaux Dimanche de Ia Sainte ::
; pa As À fée Sscotte. Françoise Poals- < À étaient dans le buffet? * Trinité vert
É ä quin. Abee Gervais, Abre Ten- c la pauvre À. d vas a dit 2 + 5
ae # barsss | œs Emme Fabas Hesri eq mer sc, — &. Mntth, OCVRE, 1480
Vs De à wr, isbelle Saist Ongr. ms née dans le ciel rt sur 1a terté/ Ales
DRE que ces chrrs pris = Gauvin. Anncitr düne, enseignez toutes }2s nations} ,
als qu eusent nes ne Lol es Le Laptisaht au 0m du Père, et di FES,
D e- n moine. Fortunst Homes durvet Loue Me chi veus
+ Lex brillant __ Lois Prairie. feamer avr de tuer vous ai commandées, - Et voici que je" '
mage répoul mes grue. Perrén. Thérèse Lepage. Yon}. suis avec tous les jusquà
A ri NE mms st Jemtlité
æ + - _ - mt et net à > à + y SR
ne rs sont ani ès of. | ques Laurie. Abe Porri Fé n il cu remet | uchante On a ralifié contes bleus Calendrier de la semaine.
les. car ds détraiscnt en quen- jeun Gars. Andre Chaget fu ee ue L'épi certains rècits féeriques popu- a
tés énormes mouches, mous- jennme Vouges, Cécile Gone ee mer veille laires, publié LS de os Ü seudi 9 juin — 88. Prime et.Féli-
digues. chrnolles. papillons. Cri@ke. Marie Boucher. Mogit-| "2 0e Dee feullcs ce our ha dés Mauvais pupéer: ee ÿ SE 2: dei
. s L - - ; pe e v
pq fra ' ranger 7 per = “Here irc qe moindre et avec une couverture ue Vendredi Temps.
$
;
héq
_ lu : bleue, et l'épithète de bleis a|Barnabé, apôtre.
. + BP ane | CE = ee Mi # . <; cm, -edls _—— = été donnée d’abord aux récits] Dimanche 12 — La Très Sainte .
: col » 2 qu'elle rappôrtail e7 enisaité à [Trinité 2
toutes les oeuvres où le féeri-| j,nai 13 - 8. Antoine de Padoue.
que se mélait à la légende. Mardi 14 — 8. Basile.
! à à . Mercredi 15 — Cermalns Oùé:
La diplomatie de bébé |. te #0
+ 1
: ss î + é & M ue
pe 4er ! Grade? Pris- Adoss Le ee fat d'abure ur idée de péee : Bébé prend un gros morc: A sd 4
bons eu rt, | mcmrcux. college de Saimt-Nor-[oe ee comtructen puis me met ee | 4 de sacte ans le sucrier el de- - Omission MALUS
es à her de Cet: Solange Eeszsrur. école eue en eur 2 commence per de mande à sa mère la permission : pre,
CE Re. rafiques Saunt-Hyscihe, La Selle mige. cor uns ln constrution ce de le manger. . Au dérniér concours, Jes pe-..
à. choge prà 1 — Prn- Arena | ne dus Le Sarthe, In Mise eut ne — Non, pas celui-là, monltits enfants dont les noms sui.
pe oué dt _ école Saint-Cathbert purs mécemmine, si ele est beume et chéri, il est trop gros. vent ont oublié de mentionner :
petès. © Bébé en fait rapidement dis-|le grade auquel ils al og À 7
‘Mes à paraitre le moitié d’un coup delnent: Gérard Bohémier, is
& vs boss > dent et présentant Je reste : cel Teffaine, Elodie Champa--
der --vuczs — Et maïiténahlt, maman? gne. Aix
cisreur de ———_————— term k
m'est ° |
Le = . Appau vrissement du sang tr
es - te. : | Déni nombre de femmes se plaignent de faiblesse”.
, générale, d'essoufflenent au moindre efort, de palpitations gs
: L'oeil du chat a la vropriété de cœur,d'un appétit capr ICIEUR, de digestions difficiles, , d'un ;
cœinior dans " [ provien!| graves immédiatement les. -. jf...
CVS DE ESS à
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de retfempei lei pérfs
4 les 1e s jortis |
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Grade X — Pr comme celle du: chat, la
Leel acilité de s'ouvrir entièrement. 4
à HO DR Er k
Les roses de sainte Elisabeth Lo D
Grade VII Prix- Anse Si lCardimal Base Courchaime [x sentent qu éreut songes ge | é
colle. couvent & Sami enr Ver Lemmas. Flocace Cart-lées Lite chrétienne dus Les succès
des Chèmes- Mpbrasime Cook eus Yvonne Mamstgre_ Roger |comme dmms des revers de ET out Vogéest-e
érokc Fer. Sos! spècin 1 à Adrian LEGAL Après une maladie tu-
d Grade VI Prix. Marthe }otreun Lessard Mourille Cha | Eonie Sune-Jontim La Eregurie . rée dont j'évais failli mourir, les.
Gas. comv:nt de Saimt-Adol- DOS me at x: w+ forces étäiètit léntes à me tévenir
"+? Drsauteis Marthe —————— 0" ©—— € x ‘ “
dser: Gohelle Burves Nclme Légende |. #4 J'aviié À eouftris de toûles D
les
les distribuer aux pauvres, elle
se irouva tout à coup en face
delde son mari qui revenail de la
chasse. Ftonné de La voir ainsi
sous le poids de son
que vous pèriez”, cl en même ne
temps ouvrit, malgré elle, le} L'ayant recommandé les Pilüles Rouges, j'ai aussitôt pris ce remède
ne ag qu ts Mi qui a fortifié tout mon système a aidé les fonctions de mon estotiing ”"
in avait plus que des roses! 4 rétabli me santé J'ai pris les Pilules Rouges durant ün af eñ-
cils hatee- = - | blanches et rouges, les plus bel- viron, mais je considère que ce fut quand méme un traiteméüt Bon
‘ = i les qu'il eût vues de sa vie; cela] marché”. Mme Alphonse Lussier, 191, rue St-Charies, Montréal.
le surprit d'autant plus que ce é : ; oi
re grd la saison des fleurs CONSULTATIONS GRATUITES aux femmes, par letres où &
: : | . * | nos bureaux, 1970, rué Saint-Denis. Notre médecin gt à votre dis
: ea par pied sg emo. 2 ds : ; . Montalembert. tie de jm 4: | 1e dent ke -
eendes. ee prodneest qu'ur [Mac Deus Julie de Me |leubage ct ke chmmmtenes : Monsieur Bob |. ‘ et files religieuses). Vous serez satisfaites des conseils qu'il vous donner
ère. Le e-jsac. Emile Macaue, Fesmande) Par céchéquent, H devrait : A : ï 2
pour rien. Îl vous est impossible de vous soigner à meilleur marché. -
‘pour ÎTouges Emilie Prairie. Evelk-|truuner dans toutes es
DRASS Bob se promène à la campa- #4 A 4 11e de.
doume des resaltatsime Gus, Jonchion Puillé, Wet tre 2e member des remncdeslus gne: il aperçoit an ânc. as En vente partout, ou par Le pod, 64 pou 18 bols. rh:
ra DT Hd Perressh, . LE Fou nes suicut cn voyage. CL — Papa, est-ce que l'âne al CIE CHIMIQUE FRANCO-AMÉRICAINE, lé, 1978, 5e-Donie, Momtedh
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LU 7 - ue be 5 7 eur "
sum iihe nt é). Larget dope dEuwegeæ
ei ln machine écrit “Free. REX POI savants =
vous avez terminé. vous écrivez £ L
certes celle qui dôit s'appuyer sur les meilleu-
res méthodes. La vie d'un grain de blé dévend
l'agriculture méprise la rour- bien plus des circonstances que de ia eut |
humain, la pourvoyeuse de la de son semeur. Il faut cependant que le culti-
vateur assiste en quelque sorte aux transfot- |
sh :
®- Be salut est donc dans la ruralisation, ou mations intimes de ce grain de blé. 11 faut
fêtour à la terre. qu'il lé veille des premiers germes à sa pleine
: EE 4 floraison. II faut qu'il le sauve de ses ennemis |
Ruraliser, c'est plus que cela. naturels. En un mot, il faut qu'il le soign-. |
Ruraliser, c'est faire de l'agriculture une le prémunisse, le guérisse et le sauve, comme
profession honorée, admirée, imitée. ferait le plus habile ct le plus sage des mede-
‘De toutes les professions. l'agriculture peut cins. Mais cela peut-il sc faire sans une mé-
se glorifier de se savoir supérieure à loutr. thode? La méthode — qu'on n'ait pas peur de
L'homme des champs est le recommenceur ce mot — c'est le bon sens rmeitant de l'ordre
direct de l'homme au paradis terrestre. Son dans les connaissences. Comprene:-vous main-
travail est celui qui exige le plus de foi dans tenant cette vérité: l'absence de la méthode
la Providence et pas un métier au monde ne hâte la ruine et vide les terres. C'est donc la
adii parler comme lui de la grandeur de lhom- méthode. l'ordre dans la science, le bon sens
me, de la fécondité du labeur, de l'usage d'une dans les initiatives, qui refera la campagne
saine ‘et patriotiger: liberté. Le cultivateur heureuse ct prospère. Pas de ruralisation,
re rue ee ce RS «ER à «Re nee pen
sert la terre, et en servant la terre, il sert par- sans cela. | Louis HEBERT.
CLE compter sur som aide mentale plus|000. Landriève. remphssant les fonc- |
DU encore que sur son travail manuei|tions de commissaire pour le Canada
l'épouse du cultivateur tiendra la clé|en 1735, demeura en Canada 900 000-
PROGRES de tous les progrès économiques à la! Saint-Sauveur, secrétaire de de Vau-|
campagne dreuil (1753), demeura en Canada :
(Dédié aux femmes) L'on sait maintenant que partout] 1900000. Decbeneau secrétaire de
à _- où la femme cocopère intelligemment | Bigot (1754), demeura au Canada!
La femme est non seulement une à ln conduite de La ferme, il y a ai- 2000000 Cadet (1757-60). 13006.-
callaboratrice précieuse pour son ma-|sance au foyer, parce que l'exploita-| 600. Corpron (1757-60). 1200.009-
ri,‘elle doit être aussi une conseillère | tion du sol et des troupeaux est faite} Penisseau, négociant (1757-60). 1-
ptévoyante et renseignée Ayant or-| avec méthode, clairvoyance et bonne | 900.000: Maurim (1757-60). 1909,000 |
Tate à que lhom- | entente Et R où le progrès couron- —+2Dt-2— | .— .
et . _ | » “bar=img est £ à nf - Le
nn [ue Morts. ne peut y œveirquer | J'étendue du Canada | in Poe 2 nù FOtaI aqueuse Moraes Ga cotes 5 = de D
= connaissances ques” pas de famille rurale où lé parie &e le. TS ee ut Ce OT mn EE D
. EEE. ER EL frames le
l'utilisation soit & son mari | s'en aller quand la mère comme le| ‘S22S comprendre limmense sur | dycmenaie Loge bi “nier. Ter és”. mule au lutte xml
Lé femme de cultivatétget la vills-|-ère sintéresse foncièrement aux|f2ce des grands lacs l'étendue du pe Cie pour qualler les folles guanbendes de ln Line que sprémte ln
: _ : H phw: desass. .
cises en grande culture, élevage, bas- Aiphonse DESILETS, BS A. que milles carrés ou 40% de! dames, Ce a MA tn des eu-buss lancés en Las se baiser Les memèees Prix déchargé à Fort William ou Port After _ :
se-cour, laiterie, jardinage. apicultu- Ingénieur agricole empire britannique . | «ner À vinlemmen t sur e . ç :
re. et culture fruitière, peuvent assu- A même la superficie du Carada Les exrurssmanèstes de F Université de Montréidl acrent l'avantage d'asster la semaine finissant le 6 juin 1927
A ; | 2n “stampede” de Calgars F. en se rendant à La (ce du Pardique. em puilbre peur
réf le succès des travaux agricoles Tee ca pourrait faire quarante contrées) i ou fut en et un ant à h of le de
si elles savent exercer, avec habileté. aussi grandes que lAnglieterre, le| [Alberta le L3 jqilet : | Mars Mere Jet Vent. = a»
leÿr influence en temps et Feu pays de Galles et l'Ecosse réuns | [A 210 Flmx lyam 2jyan jam jam 6
Pour augmenter production et Ces trois contrées ensemble ont SS- Tr ” — — — - EE | MERE = -
ge du 000 milles carrés d'étendue. ë BK No 1! Net: 164 1651 164 fermé 1 ji 1!
ameï>der la qualité des produits ‘ à à i pe
sol au Canada, d'innombrables dé- a Ce qu'on appelait avant ka guerre | 2 No 169 1-6 pe ss = | 1.54:
« marches officielles ont été faites. lois | t : de 1914 l'empire germanique. pour. | 3 Na Si 1525 1 LE 1-45
enseignement, subventions exemples furen des Français don rait être enfermé cCans la puissance | .. 3, E « E . .
rétherches scientifiques, primes ac-| deux sont de graniles figu-|éu Canada et il resterait encore as- RSA SES bus 2 pe -@: : ue 4} ©
condées, concours d'émulation. etc | res historiques mal a Due Les ire pense Amencmis que sous Seven peer : À -N_-m - -SN 5
i ds = . aussi grandes Allema- > Ur Mae — L —_ ” van que LL) Tai ne, - P*
leur durée seras heu rai- Québec Les premiers milhonna:- ere. . Ceegsrative d- Tenas vous ns étre sésler" Le ne ou den Ur : . ei … pe | _ —
la femme aux La terre canadienne comprend donc , ts - + -
See Caen pu per RE et = er ln Hd Manitol C 0x : _ _- . _ pe … me . - .
pèr l'homme dans ses cultures grande partie de leurs fortunes, qu'ils | 9 PEU MONERRe CE de MT WINNIPEG ET BEANDON, MAX 2 200 19 1971 — 1 1%
. le femme, en face des travaux | acquirent des Indiens et de leurs con- FR = ls . Exrédiez à votre établmement Le os eeuche : - _— _ :
lourds et difficiles de l'agriculture. | citoyens, après avoir passé un cer-| Lin pete : Sxk 2 CW 1151 116 1 13} ” 110 1 @
stübetitue aux énergies physiques |tain nombre d'années de ce côté de : tique itaue.
: Le bassin ce la baie d'Hudson est a _—— : ee °
| F | ere A étumt de 200000 & Pris sur voie
L
milles carrés Le bassin du Samt-
tent en elles-mêmes des gages de suc-|en 1492 par Christophe Colomb le : Bree BY 1 Ne 16 164 1 5! _ 15} 155
+. ” heal 3 Le | ss 000 milles ne ou — Avuume 2 %, -621 63 _ -61i -
? ÿ à 2 “ 3% C5
D or er mr per Unis. Re. = . = .
Ù in ddl eds Le bassin du McKenzie a un: éten- Sie ? CA 1135 14% 11 Se Le!
ct pourquoi elle est Séèlement sui-|neur général de la RE Juste Cause L . 2 _ | L
Nouvelle-France
x sant de l'Atlantique et le bassin de‘ Opens
x np. n, mises l'existence mere _. euros sas DR ST CES = 1a24 ee D ns
+ de 50.214 : tan- , = > > 1 44, Vu RTS A a paard à =. elle = a tire 2 z
d'établissements agricoles modèles ré-| France avec 23.000.000 de livres 4 pee Rayess : Le de ue Pen ; . B:- re 1 és u A rm - si
suitant de la coopération de la fem-| La fortune de lintendant Bigot _—_ sis LL _: : Fat: 16 1e _3 * 1515
N ni avec l'homme des champs. par ls surpasa celle de Vaudreuil, étant def 0 STE a La Coopération se justifie par les résultats Ortobeé 149% 149$ 147. ” . 144} 142
mise en commun des forces mentales | 29.000.000 de livres Il prit onze ans aemsbpniirel : se) Lux ot pue marçer inetile. On de répiee parteet 2mfoans bai Decembre 145 146 1 43} iu 1»
eÉau travail physique. . à amasser cette fortune, de 1749 à qu tee nn ® ride dans D Nasser e Je milbnrs de fermes sons Die Guramentees . pr = s
Une ferme qui étudie les problè-| 1760. Laglrspmesliueg-à és; preems. vs : «mes ta, Fous tem — peemquh L'examen x Mu : - ee
mie: de l'agriculture moderne se met] Ces deux personnages ne furent trente miles d'âmes Lange moe 3 | | Vosile< esi -633 et » Fe _61
vite dans la tête le plan généra' de}pas les seuls à faire fortune avant a | Dome mur Ne Dei 2e (iaudn ce se os us co tt on Qrecbe- #1 qe 6 © - :
la. production en qualité comme en|1760, car il ne se trouva pas en Nou- Ministères canadiens depuis és L “ RE EN-esrbee si x» -53 :- _#
Œnntité. Elle sait qu'une bonne ré-| veille-France moins de dix-neuf per- la Confédération ! * remapt fnamcer brurs = ps =
colïte ne peut sortir que d'une bonne} sonnes dont La fortune s'éleva à plus D n —— | = =. … L . cer
stinence, qu'il faut adopter des grains} d'un millier de dollars Sur ce nom-| A l'occason du prochain soixante- ed | _ "| n : L
et! graines purs nets de variétés |bre, trois seulement demeurèrent de maire de La Confédération il est bon dates 3 ni # R- Æ - -#2;
rétoraues comme propices au sol et}ce côté de l'Atlantique pour y placer|de rappeler qui furent les premsers y D a | «. 7 -# -78 .
au climat: qu'il faut les ensemencer | leur argent Les autres-retournèrent | ministres du Canada depuis cette épo- s on Tee à Do | : cer ps ë 7
but diins une terre bien assainie, meuble | dans leur pays natal que Voici la bat des cabmets fé. | - _ L= . he + pr | " PES 201
shffsamment riche, à une époque) Voici les noms des milionnaires!déraux qui se sont succédé à Otta- LA COOPÉRATIVE DE BLÉ DE LA SASKATCHEWAN De crade 2 > 06} 204}
choisie et à des distances conformes! avec les dates et le montant de leurs | wa | « es us sine nées Rs =,
D fortunes Sir John-A Macdonald jullet 1567 “ h< } 1174 117 115 ps Lu :
et d'aliments assimilables Elle Le murquis de Vamdreuil gouver-|à novembre 1873 { Catdee 1 1 108] 1% ” LS 1
chnnait les façons culturales qui s'im-|neur général du Canada (1735-69) Alexandre Mackenzie, novembre Dkc L 1 es À ue :
posent durant la période de eroissan-| 23000009 de Evres: Saint-Luc de | 1873 à octobre 1575 | mi : —
cé; elle peut indiquer le temps de la|Corne. capitaine de marine (1737- Sir John-A Macdeuald octobre
mbisson et les soins qui doivent ac-| 60). 1220000 Lvres- Lotbinière, in-
89387
: dé Vaudreuil (1734- Sir J-J. Abbott juie 1591 à é&-
60). 1400000. Le Mercier, commman-|cembre 1582
187TS à jum 1591 |
1
vitre des produits en bon état Elle COURTIERS EY CRANS ET ACHETEUR SUR VOX | | "
-Sgfméralement l'intuition des pré-|éant d'artillerie (1735-59). 1 800.000. Sir John Thompson décembre 1592 Références. ia Basque de Cummenve au Loue agence commerciale
D Penn, major de colonie (1732-358).|à éécembre 1594 Winaipeg — fronton — Riçcteæ…— Mec Jus — Sahamwes —— Kesebest e aren
aisément aux éaprices de la T000.000: l'intendant Bigot (1749-60). Sir Mackenzie Bowell décemore Mn s Sœbte Comment — pan — Qu Lan — Duntsiieen = - ;
dhientèle 29.000.000: De Vilière (1758-60). 1-|1894 à avril 1596 ne RS CS Courtiers en grains
“Ainsi femme champs peut} 200000 Martel (1758-60). 1900 000: Sir Charkes Tupper. 15% à}! Avasces berai— prompé pasrmeut. 20bamrer Saber. merde ers remmitaes ,#
la des . { ) ai j Fu spécrai privé Dour tous les mu-chis de gra — Fiscements et ST GEAR EXCHANGE AMREX WINSMPÉS, MAN
Staborer d'intelligente façon au tra-| Varin commissaire à Montréal (1737-| juin 1596 Î de en nn ln Mar /
vail de l'homme, si elle! ln peine |5S. 4000000: Bréard (1749581. 2-| Sir Wilfrid Laurier, juillet 1596 à | oi m ELEVATOR CO. Las. Leencée v
* a. à 18 PA ae pr | rh | Marquez votre connaissement- Aunsez MAL DE Auance ibera= et promet pement pe coûque CERTUFE
dé C : } (BL ot Ladng .
comme elle le doit [EL s)beb (1730-58). LSD0O000 Martel mar- Sir Robert Borden octobre 1911 a! VELEFHONE © = : 2. CRAIS EXCHANGE. DISRIFER Références BANQUE CAMADRENNE MATIOMALE
ube ro de Montréal (1128-58;, 2504-; actobwe 1917 BR LAVLENRE, saninermines
om pk à Me is ns |
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16
e
Hi
RAEU
À
Nous croyons de notre devoir de
reproduire la substance de son dis-
cours et de faire écho à ses paroles
de gratitude.
Dans une vibrante allocution, aux
applaudissements réitérés de l'assis-
tance, le FF Magnan sé plut à pro-
. clamer combien la prôŸince de
bec, mère te et généreuse, avait
été dans et continuait u'être
toujours, à l'instar de la France chré-
tiènne, li grande pourvoyeuse aes
. missions de l'Ouest et l'inlassable :-r9-
vidence de toutes nos oeuvres d’'apos-
. tolat. La pravince-mère est devenu,
pour nns lointains régions, comme
. autrefois la fille aidée de l'Eglise, le
foyer surnaturel de zèle rayonnant,
la source inépuisable de charité exu-
bérante, L1 pépinière féconde de voca-
tions apostoliques, la terre classique
de l'épopée missionnaire.
Depuis 80 ans, sous son égide ma-
térnelle, toute une nombreuse et vail-
lante légion de ses enfants, fils du
Saint-Laurent, apôtres de l'Eglise et
précurseurs de la race, revêtus des
livrées du sacerdoce et de l'abnéga-
tion religieuse, ne cessent de parcou-
rir, en des randonnées héroïques et
rédemptrices, nos immenses plaines
et les steppes boréales du Grand Nord,
visitant tour à tour la chaumière du
colon, la hutte de l'Indien, l'iglou de
l'Esquimau. Pèlerins du Christ et
disciples de Mgr de Mazenod, héros
de l'Epopée Blanche et des Glaces
Polaires, — depuis les Grands Lacs
jusqu'aux bords de l'océan Pacifique
et les rivages des mers arctiques, —
ils ont sillonné toutes les avenues du
Canada occidental et de l'Amérique
septentrionale, ils ont jalonné toutes
les routes épiques de l'Ouest de croix
et de clochers, ils ont fait rayonner
partout le flambeau de la foi divine
et de la civilisation chrétienne, ils ont
fait résonner à tous les échos de cet
immense pays, découvert il y a 200
ans par un de ses fils glorieux, l'im-
mortel La Vérendrye, les doux accents
de son verbe évangélisateur, le parler
des aieux.
Ecrivant, avec la France, par le mi-
nistère de ses messagers de l'Evan-
gile et de ses chevaliers de la Croix,
une des plus belles pages de nos au-
nales ecclésiastiques, la premère pro-
vince du Canada, pour accomplir par-
mi nous le geste de Dieu et les croi-
sades de l'apostolat, a donné à l'Egli-
se de l'Ouest ses plus valeureux mis-
Fidèle à ses giorieuses traditions
de dévouement à l'Eglise et à la pa-
trie, .la province fHeligieuse des KR.
PP. Oblats de l'Est canadien continue
de donner avec largesse et amour de
2 PRE EE SG acer mate.
inspirateur et père de cette oeuvre
f.
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F]
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de
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cette circonstance magnifique, de re-
mercier &u plus profond du coeur, en
mon nom et au nom de tous, les RR.
PP. Oblats de l'Est du Canada, en
particulier les RR. PP. G.-E. Ville-
neuve et G. Charlebois, les deux su-
périeurs provinciaux de Saint-Pierre
de Montréal, qui nous ont personnel-
lement gratifiés du don de si nom-
breux et utiles colläborateurs, et
le tribut de-notre plus vive gratitude.
Et maintenant, avec la bénédiction
de Dieu et de nos pasteurs, et sous
la douce et ferme ‘direction de son
nouveau supérieur, nous exprimons le
voeu que notre jeune collège entre
dans une ère de constants progrès et
voit luire sur ses futures destinées
l'aube d'un glorieux avenir.
Et pour prouver le plus effective-
ment possible à nos bienfaiteurs no-
tre insigne gratitude, nous souhaitons
que, comme l’Université d'Ottawa à
laquelle il est agrégé, ce modeste
collège soit toujours à la hauteur de
sa noble mission, soit un centre in-
tellectuel des sciences et des lettres,
un sanctuaire d'orthodoxie catholique,
une école de fierté nationale et de
vaillgnce française, et donne à l'Egli-
se de l'Ouest une élite qui portera
vers les sommets l'idéal chrétien, l'es-
prit apostolique et missionnaire, l'at-
tachement aux vertus ancestrales et
à la douce province des rives lauren-
tiennes,.le culte de nos gloires reli-
gieuses et nationales, pour l'extension
du royaume de Dieu et la grandeur
de la patrie canadienne.
———— 24 0D0-2——
MEYRONNE
Aujourd'hui, premier vendredi du
mois de juin, fut un grand jour de
fête pour les enfants de Meyronne et
aussi pour un grand nombre d'en-
fants, car c'est le jour que M. le curé
avait choisi pour le jour de la pre-
mière communion des tout petits et
pour la communion solennelle des
grands. ,
Depuis trois semaines, les enfants
ont été préparés à cette grande fête,
par notre dévoué curé, assisté de l'ins-
titutrice, Mile Parent, et la cérémo-
nie d'aujourd'hui restera à jamais
gravée dans leur mémoire, car le jour
de la première communion est, sans
contredit, le plus beau jour dans la
vie d'un bon chrétien.
Dès 6 h. 30 du matin les enfants
commençaient à arriver à l'église, les
uns à pied, d'autres en auto, mais
tous protégés contre une pluie fine
qui s'était mise à tomber, et qui me-
naçait à un moment de nous dérober
les rayons bieñfaisants du soleil. Heu-
reusement, dans la matinée, les nua-
ges se dissipèrent et le soleil, comme
s'il voulait se réjouir avec nous, vint
nous montrer son visage le plus sou-
riant.
Au moment de la communion, les
enfants, sous la direction de leur
maitresse, s'aprochèrent de la Sainte
Table en grand ordre et les génu-
flexions ainsi que les marches furent
exécutées avec un ensemble parfait,
qui fait supposer une somme considé-
rabie de travail et de patience de la
part de M. le curé et de Mile Parent.
Les actions de grâces furent lyes
à hautes voix par la maîtresse et ré-
pétées par tous les enfants: après
quoi, deux petites filles et un petit
garçon lurent à haute voix des priè-
res de remerciments et la consécra-
tion au Sacré-Coeur.
Après la messe, M. le curé adressa
la parole aux enfants afin de les ex-
, | horter à faire tous leurs efforts pour
rester toujours bgn=s comme ils le
sont aujourd'hui.
Les enfants furent ensuite reçus
du scapulaire du Mont Carmel et M.
le curé leur donna à chacun une ima-
ge-souvenir de ce beau jour. ‘
j
j'éprouve une joie bien légitime et|gration et de colonisation au pays.
bien sensible à leur offrir en retour|'in annonce dans tous les grands
|
li
*
FF
teix, et Leclaire, de Ferland.
TRIBUNE LIBRE
propos d'immigration et
| de colonisation
Belcourt, Abitibi, 31 mai 1927.
M. le Directeur,
Auriez-vous l'obligeance de publier
quelques remarques à propos d'immi-
A
iournaux l'arrivée de milliers de ‘‘fo-
reigners” (étrangers) des vieux pays,
qui se dirigent vers ‘Ouest canadien
surtout. Mais on parie très pen des
nôtres, ici, quand la première invita-
tion à faire ce voyage et à premlre
possession de ces riches et fer‘iies
rrairies leur devrait ©tre faite.
: Si mon devoir est de travailler à peu-
pler mon coin de terre avant tout,
chez nous, en Abitibi, je ne puis par
donner au gouvernement, à ces gran-
des compagnies, organisateurs et
agents, d'ignorer. les nôtres en ne les
invitant pas à prendre ce qui nous ap-
partient avant tous ces ‘“‘écrémés”,
Car ce n'est pas toujours la crème
qu'on nous envoie.
Je suis un ex-Westerner. J'ai par
couru, le Far-West sur 20,000 milles,
j'y ai”fait un séjcur de plus de cinq
années. J'y ai vu beaucoup d'avan-
tages et gardé d'assez bonnes; impres-
sions de ce pays lointain que j'aurais
fait le mie, si j'avais pu résister à
mes tendances vers la forêt. Tous
ne peuvent pas être bûcherons. On
devrait encourager les Canadiens
français à s'établir dans nos plaines
immenses à l'ouest des grands lacs.
Nous- travaillerions ainsi à augmenter
notre nombre et notre influence fran-
çaise, religieuse et nationale.
Nous devrions avoir l'avantage de
faire nous-mêmes notre immigration
sans le renfort de la “Old Country’.
Des nôtres souvent perdent leur po-
sition en ville par ce fléau d'excur-
sionnistes européens qui viennent ici
parfois sous de fausses représentations
pour s'enfuir ensuite à l'étranger avec
notre argent. Les nôtres n'ont pas
lien de se décourager. Si la hache de
l'Abitibi est trop lourde À manier,
qu'ils aillent se promener sur la char-
rue de l'Ouest, dont le tour a souvent
un mille, au milieu de nombreux cen-
tres français et catholiques. JIls au-
ront au moins la satisfaction d'être
Chez eux en pays conquis, réspirant
l'air pur d'un climat beaucoup plus
sain que celui des abattoirs et autres
grandes compagnies qui tuent et rui-
nent la race.
Vous serez les bienvenus parmi
ceux qui luttent là-bas pour leur Sur-
vivance. Pourquoi le gouvernement
ne donnerait-il pas les mêmes avanta-
ges qu'il donne aux étrangers aux n0-
tres d'ici et à nos frères qui sont au
pays de l'Oncle Sam?
Les races. étrangères à toutes nos
coutumes, qui ue connaîtront pas nos
. Samedi 11 juin,
ait é
Grande Convention Générale
dans les intérêts du
GOUVERNEMENT
Saint-Pierre-Jolys
L’hon. R.-W. Craig et d’autres parleron
Tout le monde est invité " .
1
it
Frs
HR
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É
|
mieux connaître le
nisation. Ce n'est, pas à 10,000 pieds
de hauteur qu'on apprendra à connat-
tre nos réginns nouvelles qui renfer-
ment nos richesses naturelles. D'ail-
|
leurs ces messieurs, dont la plupart !
sont de profession libérale, n'ont ja-
mais eu l'ambition d'aller casser de ia
terre à Sainte-Rose du Lac, à Laver-
ture, encore moins à la Rivière-qui-
Barre. Ce ne sont pas ceux-là que
l'on attend pour rerforcir notre nom-
bre, ouvrir de nouvelles paroisses.
Certes, ils y rapportéront d'heureux
souvenirs.’ Ils ne seraient pas des
Canadiens s'ils ne gardaient pas quel-
‘que chose de ce coin du pays, qui ést
encore plus grand que Québec.
Canadiens, avant de nous quitter
pour les Etats-Unis, si da forêt du nord
vous fait peur, allez dans l'Ouest ca-
padien. Vous y rencontrerez des frè-
res qui vous invitent. Si loin que
vous irez, vous trouverez partout des
groupes français et catholiques tout
en demeurant Canadiens avant tout.
N'attendez pas les excursions à grands
frais ét l'aide des compagnies inté-
ressées pour vous tafller un domaine
parmi les cent millé et plus des no-
tres déjà prospères ot installés.
C'est À titre d'Abitibien que j'ac-
complis ce devoir sans préférence
pour chez nous où il y a encore de la
place pour 200 familles. Mais plutôt
que de vous voir chômer en ville, dé-
serter le sol natal. pour aMer en terre
américaine, je veux vôus dire que les
premières lignes de défense du vieux
Québec se trouvent dans l'Ouest, Al-
lez-y, nôn pas en “Survivants”, mais
en vivants. Merci de votre généreuse
hospitalité. ,
Votre tout dévoué,
J.-W. VILLANDRE, cult.
A7
Répliques du ‘‘Bon Sens”
Sous ce titre bien connu, un laïque
apôtre, le capitaine Magniez, publiait
i ya quelques années, un opuscule
qui eut ua grand succès. Il y répon-
dait avec science et esprit aux objec-
tions les plus courantes contre la reli-
gion. Beaucoup d'exemplaires de
cette brochure se répandirent au Ca-
nada. Elle est maintenant épuisée.
Sollicité de publier une nouvelle édi-
tion, l’auteur a autorisé l'“Oeuvre des
Tracts” à en prendre elle-même J'ini
tiative. Et c'est ainsi que paraît au-
jourd'hui dans la collection des bro-
chures de cette oeuvre une édition
“canadienne” des ‘“Répliques du bon
sens”. Afin de rendre ces pages plus
fructueuses encore, lès éditeurs cana-
diens ont voulu les adapter à leurs lec-
teurs. Ils les ont d’abord divisées en
séries —-c'est la première qui paraît
aujourd'hui — et en ont retranché
tout ce qui ne, semblait pas utile à no-
tre pays. On y trouvera donc une
réfutation claire et à point des princi-
pales objections contre l'existence de
Dieu, contre sa Providence, sa Bonté,
etc. objections qui circulent parmi
nous et auxquelles on ne sait pas tou-
jours comment répondre.
Cette brochure et celles qui sui-
vront seront un véritable arsenal pour
l'apôtre laïque, pour l’apologiste ca-
tholique.
Elle ne se vend que 10 sous l’exem-
BRAGKEN
RS Le |
à 2 heures p.m.
4
mi
LM
.. ;
D à
3 $ ÿ 4 À Fe bé, di x ee vire
| : - " A, SROTVR > ” LS Fax \
tt mo he à - À sainte vdtndmnihee —2nbn be émet Qflge ce din de
2.
. Le Bain du Gouvernement, à Banff
lsqealé les visiteurs prennent
joyeusement leurs ébats. Celle du
Gouvernement, dont noûs reproduisons
ici la photographie, est la plus vaste
et la plus populaire. L'eau y est d'une
… has hd ni Litae
trouve la sourte elle-même, aussi
ouverte aux balgnèürs, où l'eau jaillit,
du, sol à une température encore plus
€levée. Le bain du Gouvernement
sera l'une des attractions caen
aux excursionnistes de l’Univerai
Montréal, durant. leur séjour à Banff,
ui
valent aussi une bonne part de sa
popularité.» Plusieurs de ces sources popula
ont été travaillées et, aujourd'hui, |£rande limpidité et est” toujours
Ban‘f compte une demi-douzaine de|maintenue à une température d'en-
superbes piscines de natation dans|viron 99 degrés F, Tout à côté, se
en juillet prochain.
LES FERMIERS
DU
MANITOBA
Voici une histoi
oici une histoire vraie
‘ 2
En 1922, les producteurs de tabac du Kentucky et du Tennessee forméèrent
une Coopérative. Leur Coopérative leur donna de meilleurs prix que ceux qu'ils
avaient eus des acheteurs privés. Elle força les acheteurs privés à y-voir clair
ct à payer de meilleurs prix. Elle réussit si bien qu’un grand nombre de ses
membres pensèrent qu'ils pourraient avcir les bons prix sans leur Ceopérative
et recevoir leur argent tout entier immédiatement. Un grand nombre deman-
dérent donc l'abandon de leur contrat et provoquèrent la mort de la Coopérative.
Immédiatement, les prix tombèrent, et pour la récolte de 1925, les producteurs -
n'eurent que la moitié environ de ce qu'ils avaient eu avec ka Coopérative.
grand nombre d’acheteurs privés amnulérent leur contrat avec les producer
afin d’avoir leur tabac à bon marché. Ensuite les producteurs laneèrenf une
invitation pour rétablir leur Coopérative. Aujourd'hui, la Coopérative’ est sur
pied de nouveau avec tous ses membres du début et 4,845 nouveaux” membres
qui ont signé après avoir vu ce qui s’est passé lorsque la Coopérative n'existait
plus. Par la suspension de leur Coopératige perdant un an, les producteurs ont
perdu plus de $10,000,000. PA
Ne prenez pas de risques — Il en coûte trop
La Coopérative du Blé est la meilleure garantie dy
avoir tout le produit de son travail.
prospéré.
fehmier de FOuest pour
C'est pour celg/que/les Coopératives ont
f 1 r”
Voyez ces chiffres des membres de la Coopérative du Manitoba :—
1925 1926 1927 1928
o ?
13,000 17,000 19,000 C'est à vous d’y voir!,
Et n'oubliez pas que nous sommes associés avec 120,000 autres producteuts
dans nos provinces-soeurs. 4
Le renouvellement des signatures commence le 15 juin
Le Manitoba, la Saskatchewan et l'A Iberta vont s’en occuper sérietisement ; la
Saskatchewan a déjà lxmoitié de son blé sous contrat, Montrons à-nos voisins
que le Manitoba pewt'et veut se mesurer avec eux, qu’il est pour la Coopéralive
maintenant et toujours. '
1924
7,600
SOUVENEZ-VOUS!
C'est un contrat à long terme avec”-vos frères fermiers ou une sentence de
mort avec les spéculateurs. A vous de faire le choix
Ponts
DE Te
RE
2 &e L
DRRTRIRSR TRE
et ses compagnons, tous ces
et lutteuses ont assist£ À la sainte
messe et reçu la sainte communion.
C'est Ja communion qui fait le fer-
vent chrétien et l'ardent patriote.
Le combat a duré toute la journée et
a été très acharné,
Vers les quatre heures, il y # eu
1m artuistice durant lequei la fanfare
rübilaire a exécuté plusieurs mor-
ceaux de son répertoire. Puis le com-
bat a repris et a duré jusque vers les
«ix heures On a ensuite çendu Îles
derniers devoirs ax braves morts
sur le champ de bataille, et couronné
les survivants
La journée s'est close par la béné-
diction du Saint:Sucrement.
: La patrie n'est pas encore tout à
fait sauvée, mais les cent braves
fes morts aussi bien que les survi-
vants se sont séparés bien résolus
de compléter leur victoire en conti-
s'uant d'étre de fervents chrétiens et
de laborieux ‘’habitants”.
. L2 L1
Comme ji! nous fallait célébrer aus-
fi ce jour-là le jubilé de diamant de
na Confédération du Canada, nous
avons remercié le bon Dieu des bien-
faits du pacte de 1867, et lui avons
flemandé de ramener au sens de la
justice et de l'honneur les violateurs
des dispositions de l'article 93 de l'Ac-
te de l'Amérique Britannique du Nord.
‘. Le jour où sera devenue vraie dans
toutes les provinces de la Confédéra-
___tion cette parole de Sir John Macdo-
paid: “Il n'y à au Cânada fit vam-
aueurs, ni vaincus, ni oppresseurs,
ni opprimés, il n'y a que des sujets
britanniques jouissant de droits égaux
en matière de lanzu: et de reiigion”,
nous crierons de toute La force de nos
poumons: “Vive la Confédé :ation!"
‘ Baptème
Le 29 mai a été baptisée Marie-De-
nyse-Yvette, fille de Charkemagne Pi-
ché et de Marie-Louise Bourque. Le
parrain a été Bruno Piché, et la mar-
raine, Gertrude Piché:
Certains seraient portés à dire que
ce baptéme n’a pas été ‘’fashionable ”.
L'enfant n'avait pes de ‘suce”. Il
paraît qu'il faut une suce pour faire
un ‘beau baptême”.
Vous ne me croirez peut-être "18,
mais la petite fille n'a pas dit un mot
de toute la cérémonie’ Ce n'est pis
peu dire d'une fille!’ Les hommes «!
‘science médicale certifient que ‘l'a-
mour déréglé” de la tétine est ne
cause de dents irrégulières. qui pro-
jettent en avant, ce qui n'est pas à
l'avantage de l'enfant.
Vous voyez ce qui 2rriverait si les
memans se mettaient À proscrire lc
suce à leurs petites filles et à la 1.':-
ser à leurs petits garçons: la nouvelil:
génération de fielles serait belle
ge ne veux pas dire que celle d'ui-
jurd'hui ne l'est pas et celle des
; garçons, une génération de ‘becs €ffi-
lés”.
papas surveillent leurs petits garçons
-pour que les mamans ne leur jouent
pas de mauvais tour.
—— 200 8 ————
LETELLIER
Fête de Dollard
le Cercle Saint-Norbsrt de l'AC
J C. avait élaboré po'ir la fête de
Dollard un programmrs qui
re malnenrcusement être
Il est donc important que le:
complet
pé+ pu
cause de la
eéniiérement, à
température Cependant, la
principale du progrzmme, la
dramatique. à eu lieu et a obtenu un
succès sans précédent
Une salle débordante applaudit cha-
leureusement nos acteurs «ti jouèrent
avec perfection trois désop.lantes co-
médies Le jeune homme du sixiè-
me”, ‘Le fiancé distrait” et ‘A la
ssa!le de police”. Miles Clara Bou-
chard et Berthe Comeault, ainsi que
M. René Saurrtte, exécutèrent. des
numéros musicaux Qui furent très
goûtés. La pièce de nisistance de la
suirée fut sans aucun doute une vi-
brante allocution sur l'=xploit de Dol-
lard, par noïre jeune compatriote: M
joseph Robert, BA. qui su: Urei
cé haut fhit d'armes des leçons palpi-
tantes d'actualité et d'adaptation pra-
exécuté
parte
séance
: | Eientôt un choeur de 40 artistes|'- les Souttes de éemtiion et les
chantaieut les louanges du bienheu-|sirops calmants Ne contient pas &
tique pour notre jeunesse M Robert|se continua jusqu'à 4 heures de l'a- | reu lesqu:iles se . par |narcotiques. Mode d'emploi su che
EH
sl
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aux rognons à se fuire représenter comme ele
dans mes Le mime Lea
avoir fait Frasemidaberez: !mgurane
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vérance, il a réunai à vairété des milles, Îls auraient rain du collige où les diverses socié-
ficultés que certains croyaient insur-| modeste tés du Nord € du Sud pourront ins-
abritant un petit village bien taller leurs comptoirs Dans ln soi-
ë
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]
3
provincial à Mie Since Landry et
3
È
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d'autres, M. Elphège Jubinville était
un excellent sergent, A. Lafrenière | me souviens”.
ct René Saurtte des dormnestiques
consciencieux, L Bouchard un père] Le dimanche 29 le club de Sainte-
fr
F
;
1 LE
{
|
Î
La partie fut
teur des situations embarrassantes. |12 à 12; le “point d'honneur” et
Un bon nombre de personnes ce | convenance allant à Ste-Agathe
Saint-Jean-Buptiste étaient présen-|parie de réprise_ ‘
tes, dont plusieurs étsient les mem- Visiteurs
bres du Cercle Saint-David, ayant à| M et Mme Clément, de La Bro-|P°ur. répondre
[ieur téte leur dévoué atiinénier, M.'querie, chez leurs parents renpectifs, | "eux de celles qui vennient de Tinve-
l'abbé U. Forest. Ils furent invitésiMme veuve Z Clément, familles quer et de chanter =s louanges
à fraternis:r avec leurs voisins à un}Saint-Jacqus, Mousseau, Ferthelette Au coimpliment adresse à Monsei- | Le
petit goûtir qui suivit la séance. et Robert. greur par Mile Blanche Fréchette.
Remerciements Monseigneur félicite les chanteuses
Les offiriers Qu Cercle locai de l'As- dent 2e valeur s'atlend pas Le nemère
sociation @’Educatidn désirent remer- dez années, et remercie tout Le monde
cier tous eeux qui, d'une façon ou
d'une autre, ont contribué au succès
du cours pédagogique.
Les RP. SS. de l'Institut de Notre- ee. Le lugensin. es c = nano las
Éd: des: Mieniois oRveut: loupe 1e Paille au camp. le dimanche 4. entre clôture du triduum pér la grand'mes- | eu
merciements sincères à tous ceux qui Den ner - qe. és a . ui _——
rons et le ciub local Partie chaude-
ment contestée. Finalement Aubigny
remporte la finale et le combat cessa
leur ont témoigné de la sympathie à
l'occasion de la mort de Soeur Marie-
Saint-Nothburga.
de € faute de combattants. ia place de léglise, portée par MM
La construction Ce l'école avance Beau geste les abbés Dubois Macaire. Gagnon | Les délégués des e2rcies de La ville
rapidement. Les murs extérieurs] L'hon W-R Clubb, ministre des|curé de Saint-Adolphe, R F_ Paquet-|=0mft priés de se rencontrer = Cot-
sont déjà élevés, l'édifice aura un as-\ municipaktés, a demandé à Thon A
pect imposant. Préfontaine, ministre de l'agricultu-
RE ._ [re d'adresser la parole en français à
Mile Annette Pois, de Gary, India-| . assemble politique à Morris. Fé-
na, est en visite chez sa mère pOur | jicitations 3 init
un mois.
reauk, curé de Sainte Elisabeth
- L1 -
l'Alberta. frère de M le curé.
11 y aura prochainement réunion
: de
_ !
:
sentants de tout
tions en vue de la préparation du pro-
gramme de la réception de la Liaisem}. - RO Ÿ
française le 30 juin prochain. A loccasion du triduur en lhom-| Le soir, à 9 h. de fort lon om
. neur du Bienheureux Hubert-André | apercevait La brillante illuminatioc | à Leteller samedi sir. 11 jun
Le congrès annuel de l'A. C. J. C.| Fournet, fondateur de la Congréga-| du couvent de Saint-Malo.
s'ouvrira samedi soir, 11 juin, pour l'ion Ces Filles de la Croix. nous avons Tous nos remerciements aux Chè-
| se ccntinuer toute la journée de di-leu de bien belles cérémonies à Ssint- | res Soeurs d'avoir préparé une si bet- |
manche. 12 juin Le public est cor-' Malo. sle fête à leur “bon Père”. auquel !2
dialement invité à assister aux séan-| Chose digne de remarque, dans ce! canonisation prochaine nous permet- S G Mgr l'Aschevéque est alé ad
ces du dimanche qui seront très inté-j temps de pluie presaue ciluvienne. le |tra de renouveler encore mèux Dos}! miméstrer Le comfrmation à Fuet|
Nous aurons un grand soleil s'est r.ontré des la veille du di-} nommages, nes prières et mes chants | Alexamère be semaine dernière et d- |
de visiteurs. , Nous devrons| manche. premier jour du triduum. et
nombre
————— 0 20DD-0——— manche, Momse:goeur aé ik
recourir à l'hospitaité dans les fa-' pas une goutte d’ ‘est tombée du- = L |
ë 20spit jans a-' utte d'eau r om
milles: nous savons d'avance qu'il} rant les trois jours, de sort: que dé- — De passage k R P_Fien es!
s'agira de demander et qu'elle sera} corations et processions extérieures L'entrepreneur M Guay vient de | Pères Blancs & setour C2 rOuest. |
généreuse. Veuillez s'il vous plait! ont pu se faire #$2ns aceroc. commencer les travaux à notre cou-| aimsi ou M labbé Dacust du pr
arborer vos d’aperux à cette occa- Quant è l'église. elle était merveik | vent Un bon nombre de nos conci- | cèse &e Prinre-Albert |
sion. | lieusement décorée d'oriflammes va-|toyens se sont rendus à l'appel &æ —— 0 D © — — " À
- .. riés aux emblèmes du bienheureux et | M Cwxy avec leurs chevaux. grèce M Alfred Prendergast !
M. Ernest Boissy a quiité l'emploi! de guiriandes argentées à leur Smet babituell> nl !
de la Banque Canadienne Nationale: ; L | !
| La grande peinture, faite à Rome | a été finie en deux jours
apres des vacances d'une quinzaine il représentant la gloire du bienheureux Les ouvriers sont terraim e sé cc ammois dec
entrera au service civil, département moi un Lu en ru sa
de l'immigration. ri i iè
Re viroanée de multiples lumières et de | rapidement. car le beau temps sem | à râge &æ Œam fair
M. René Saurette remplace M PORN FE COR RL ee ne ses études au séminaire de Québec.
Boissy au bureau local de la Banque Era : D
Caraiherne Nationale de orétentens a tanee De | SAINT-LAURENT
hi ee Der le prédicateur. M l'abbé Du-
= bois, curé de Rosetown. Sask. nous à 8
AUBIGNY retracé de maia de maître le ze! À né mere ni
nn apostolique et intarissable du bienheu- |. qe Albert Bouvier. un pr ne le
Baptème reux, dans le cours de sa vie sacerdD- | Lai bapt f le ler juin x |
A M et Mme Jean Sorin (cette tale et en a tiré les conclusions les l'abbé J-A Brunet. sus gl
dernière née Marie Boudry:. une fille | plus heureuses et les plus pratiques J h-Pi ñ 1 P |
baptisée sous les noms de Marie- Les parvisiens de Saint-Malo ont ee .
‘ marraine M et Mme Pierre Bouvier,
Loutise-Luc ile
M. et Mine André Brodeur, de Sainte-|te grandiose démonstration en l'hon-
Agathe. neur du bienhiureux communions |
Forgercn rombreuses et grande asis.ance à
Ikpuis jeudi l'enchime de Ia bou- | tous les offices
Parrain et marraine: | suivi avec grand intérét et piété cet-
tique de forge du village résonne sous
les coups de marteau de M J. Dubois
autrefois de Sainte-Anne des Chéènes.
Espérons que le nouveau forgeron
srura donner satisfaction aux parois-
siens d'Aubigay et partant faire re-
venir la chentèle qui, depuis l'autom-
ne dernier, devait aller chez les voi-
sins pour leur ouvrage
Fète de ka Confédération, de l'Empire,
du roi, des enfants d'fcole
Vendredi, grand congé passé en pi-
aue-nique sur les bords enchanteurs
de la rivière Rouge. à la pointe Char-
tier. » Le programme fut ouvert par
quelques mots de M l'abbé Norman-
deau aux enfants sur la fète du jour.
dont on devrait garder un souvenir
impérissable. En eflet. cette fête
préparée à la dernière minute par les
institutries des deux écoles Proven-
cher et Bourret, tourna en fêtes de
Saint-Jean-Paptiste, de Dollard, de
patriotisme et de sort" Commence
,e ns'ia par une communion pésérai
des enfants d'écale, agrémentée ‘ ée
chants pieux très Lin rendus, la fête
om
tt tee tr
A la première procession faite le di- |
manche après les vépres, l'effigie du
bienheureux, placie sur un brancard
décoré de velours et d'or. de dentelles l
et de fleurs. était porté par. quatre |!* Paroisse On y jouera un drame et |
enfants, les voix graves dus exeei- | one opérene dons cg qu a :
le choeur chantaient des cantiqhes | Présence de tous 2oS amis des parois- |
en l'honneur du héros de ls fête pen- ms voiinen Vonss lus on fie”
archevèque de Saint-Boniface arri-
vait de Saint-Pierre pour prendre
part à la démonstration. à la grand-
-messe il tenait crapelle
Pierre. de M_ Fabbé Dubois et de M | £
l'abbé Masué, vicaire de Saint-Pierre, s
faisait son entrée dans la salle pa-| Mir’ Le Castoris de daselqen: > paguer Les médecins &e pts |
poissiale, zut accents d'une varehe lenpio;: pendant plus de creme ans'le recommandent :
dant que les autres récitaient le cha-
Les bébés pleurent “Castor”
A 3°#. Monseigneur. accompagné
militaire jouée avec brio * panc |<omme un substitut agréable et inof Le vériupbhée Casterks poste 2 ns |
pelet. et le soleil souriait toujours
Préparé spécialement pour les bélés et les enfants
du curé de céans, du RE P. Bo. -que, de ne
jper Mile Marie 1:< Lt creiste care Le l
e
Le lundi. à 9 h 15. Mer Péliveerr
M l'abbé Sabourin curé de Saint- de tous ages
L perse fensif pour lhas- à parég |
* rar 'n, Le
1
# s
dharniatt bormme L:-
Me Fisnche Détourzay. Con pour Les qeuvren de ce séêu:
eme de M Lens Bétournay de cette Verne... ”
pie. et qui Dei met. Le teunis
D était Le ! Me juge Pren-| Les amateurs et amatrices nous
à qu ln Liberté offre ses | sesiègent de questions ou plutôt c'est
Srapaihees ; ‘'Tteuiomrs 2n snêmc question parfu:s
‘ M «& Mme Alert Elnin de Saint- pomdoes “Son per. Espérons que
Poniface, nous quitaient ln srennine | duns une semainè tout sers fin
la Masson Mismibe :
Circle Kitchot qui vient d'être aff 1X. ave. Frovecarher
à TA C L C dune manère imgres-
Sounante. Le président régional M
Nous avions quelques ouvrages de
Verne à TUnie et ka boum Provi- |
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ARRET RETE
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COR EER 2
li,
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LE » 6 ne
“ne faut pd’ que vous
pensez pas à cela! je :
#. vous
entraféinte.
_— Àn! monsieur
achyté, ct 1 veut m'
lub, et je veux y alor.
m'eux que le Kentucky!
— Ne mourez pus, Tom
me tueraft! Tenez, seulement de pen-
: ser à ce que vous avez souflert, cela
me brise le coeur! Et vous voir ecu-
ché dans cet affreux trou!
pauvre cher Tom!
—— Oh! nou, pas pauvre! dit Ton:
avec ; J'ai été pauvre, mais}
ce temps-!A est passé! Je euis mais-
tenant sur le seuil dè la gloire. Of!
monsieur Georges, le ciel est venu!
J'ai remporté la victoire, le Seigneur
et ma _bôünne sse, enfin tout le
onsieu il me semble que
j'aime tout, toutes les créatures, par-
tout. Aimer, il n'y a rien quo cela
au monde!
En ce moment Legree vint rôder
À la porte du vieux magasin: il! regar-
22 d'un air maussade et avec une in-
différence affectée, puis il s'éloigna
— Le vieux scélérat! dit Gecrges
avec indignation, cela me fait du bien
de penser qu'un jour le diable lui ren-
dra tout cels!
— Oh! non. il ne faut pas, reprit
Tom en serrant la main du jeune hom-
me. C'est une pauvre malheureuse
créature, et c'est effrayant de penser
à cela! S'il pouvait seulement sc re-
peñntir, le Seigneur lui pardonnerait.….
mais j'ai bien peur qu'il ne se repente
pas...
— Et moi, je l'espère bien, fit Geor-
ges, je ne voudrais pas le voir dans
Je ciel!
Avoir les reins faibles
Voilà une expression qui peut avoir deux sens. Elle
peut signifier posséder peu de ressources, n'avoir pas assez
de crédit, de puissance. Le négociant qui a les reins faibles
s'achemine vers la faillite. De même l'homme qui a les reins
faibles voit sa diminuer. L'un et l'autre ont besoin
d'nitllur ddfonde VAÉ SEC + -L
st
PHULES MOR
les reins sont faibles, douloureux; elles leur procureront les
forces dont ils ont besoin, rétabliront leur santé. Ce fut le
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se trouvaient là et qui regardaient le
corps, aidez-moi à le soulever et à le
sais dus 5 GT SG VE
Un des esclaves courut chercher
une bêche. Les deux autres avec
!| Georges portèrent le corps dans la
voiture.
Georges n'adressa À Legree m une
Parole mi un regard Legree le laissa
commander Sant mot dire: il sifflait
avec une sorte d'indifférence qui n'é-
tait qu'apparente... il suivit la voiture
jusqu'à la porte.
Georges étendit son manteau dans
la voiture, et dessus il coucha le mort,
reculant le siège pour lui faire place.
Puis il,se retourna, regrrda Legree
fixement, et lui dit, avec un calme
forcé :
— Je ne vous ai pas encore dit ce
que je pense de cette atroce affaire:
ce n'ést ni le lieu ni le moment.
Mais, monsieur, ce sang innocent sera
vengé. Je prociamerai ce meurtre …
J'irai trouver le magistrat et je vous
dénoncerai!
cas pour M Wild Maher, Granby, P. Q. qui dit :
decin.
M Wikrid Maber
CONSULTATIONS GRATUITES aux homer, par léitres ou à
nos bureaut, 1570, rue Saint-Denis.
“J'avais beaucoup travaillé sans jamais
user de prudence. Je n'avais pas évité
de ur'exposer au froid quand j'avais eu
bien chaud et que j'étais couvert de trans-
piration. Un jour, je me suis aperçu de
maux de reins auxquels je n’ai pas fait
d’abord attention, mais constatant qu'ils
duraient, qu'ils s'aggravaieut et que j'é-
tais moins fort, j'en ai parlé à un ami qui
m'a conseillé les Pilules Moro. Je les ai
prises immédiatement, sans voir de mé-
En quelques semaines mes forces
s'étaient aocrues et mes maux de reins
étaient disparus’,
Notre médecin est à votre disposition
tous leï jours, de D héurés du matin à S heures du Soir (excepté les dimanches
et fètes religieuses).
Vous seres satisfaits des conseils qu'il vous donnera
pour rien. Il vous est impossible de vous soigner à meilleur marché.
" #e
+" ANR péribet, ou par La poste, 50 sous La boîte.
* dés. *
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RAS :
EEE LERET rer
D vient
ü le Heh-
_ FE était
di Sud le — C'est moi! dis, je vous prie...
s'est rien!i quelle sorte? . [à toujours apprendre. LA à
allait déctirer la un charmant jeune homme, Allons! Georgés, dit Elles, vons .
one 8 ul malédiction de l'esclavage! été dehots toute la-journés, A
né ‘ du premier mérite. les livres! Causen avee moi pen-
— Après tout, des principes. tout! que je prépare le thé... Hi bien!
tapage pour ’ bien, parce qu'il a pris la petite Elise, secondant les
mot-là fut sur un|sûr que femme chez nous. . efforts de sa maman, accourt vers
nce n'était — Et sà femme? À eg ee ete: du
dindies de celte était ouv — Uh trésor. belle, intelligente, Ertaper dut. on. pes.
jeune enfant éu Kentucky. Georges|remuer ni les pieds, ni 2 ad à din on lähabié. très picuse: c'est ma mère| — Petite sorcière! dit Georgeë.
æ retourns sur lui, et d'ui coup tér- | Enfin 1. se retourna d'une pièce La qui l'é élevéé… comine sa fille. elle] Et il céda… C'est ce qu'un homme
rible, frappé en plein visage, 11 le reh- [porie était ouverte; Il vit ee gens dr Pas à broder, elle coud . Peut faire de mieux en parell cas,
versa. Et alors, le foulant aux pieds, | qui éteignait la lampe. . comme uné petite fée et chante déli-| -— Voilà qui est bien, dit Eliss en
brôlunt de colère, le défi. dans Foeil, Lé luhe étiit voilée de ue” Gctsimiont. | l | coupant unè tartine.
fl ressemblait Assez à son glorieux de brouillards, et il vit pourtant, i premier stat ose | — 1Bat-êlle néé dans votre maison? Elisa n’a plus l'air tout à fait aussi
homonyme, trkanphant du dragon, chose de blanc qui glissait.…. ces ressemblai- | — Non! mon père l'acheta dans un | "7: Lo ers ae
Décidément. il y a des gens qÿf/1 entendit de petit frôlement des vé- ét vagues, dont | de ses voyages à la Nouvelle-Orléans | Pt DE rtf ns
Engrent à être battus; couchez-les tements du fantôme… Le fantôme se eu moins unelet en ft présent à ma mère. Elle| Lena
dans la poussière, ils vont être rem- tint immobile auprès de s0h lt. vie. il ne d'éin- ,avait huit ou neuf ans. Mon père n° beureuse qu'une femme puisse l'être.
cou ses vêtements poudreux et rui-|:4cc un accent % tôt & PR RES
vit.de l'oeil la voiture qui s'éloigna | trois fois: “Viens! viens! viens! 11 | rencontrait les tu jéu- | trouvé le billet de vente. C'est un|°%"- grd
lentement. On voyait qu'il respec-|suajt de peur: mais, sans qu'il sûtine K Devos les nee | hs aa . is dé db à — Je _lej.faite ‘motemême, père,
tait Georges; il n'ouvait pts ls bou! quand ni comment, la chose avait dis- qu'il les déturnait poliment, quand | belle! tout entière: perutane ne æ's mAf,
che avant que tout eût disparu. |Paru. Legree sauté du lit, il courut | (te lui faisait voir que cet examen la] Georges tournait le dos À Cassy: il TE ES RS.
Au celà des limites de la planta- | ja porte; elle était fermée et ver- | génait. ne pouvait vofr avec quel air d'atten- | "®i° a toujours scs grands yeux.
tion. Georges avait remarqué un pe- | rouinée.. Legree perdit connaissance. | Cassy se troiva biéntôt mal à son |tion profonde élle écoutait tous ces pourras eg Rertag à
A partir de ce moment, Legree fut| aise. Elle crut que Géorges soupçon-| détatls…. eu : #, he et
bragé de quelques arbres. plus intrépide buveur que jamais: (l| nait quelque chose. Enfin élle réso-| À ce moment du récit, elle lui tou-| 9 tHomPhe Pendant qu'il répond
C'est là qu'il :reura le toribeau. ne buvait plus, comme auparavant, |jut de s'en remettre à sa générosité: | cha le bras, et pâle d'émotion: gs pn -
Quand tout fut prét: avec prudence et réserve; il buvait | elle lui confia son histoire. * — Le nom! savez-vous le nom du}. llonst nn RE
OR CRE Re A à avec fureur. encore. encore. tou | Ceorges était tout plein de sympa- | vendeur, lui demanda-t-elle ? ss AU nee dust
Free le maeeu | jours! thje pour une personne qui avait] — Simmons, si je ne me trompe: ne à sd phiivre
— Non, m0, ctsevellases-le avec! Le brait se répandit lientôt dans | échappé à Legree. 11 ne pouvait par- c'est du moins, autant que je puis le | Père ne l'était votre ge.
5
ri
# à
$
excès
quelques pièces dans la main. ses yeux ginéait le sang dans
‘ Eux, cependant, ne s'en allèrent veines. A son If de mort, immo-
Pe " , sombre, fhexofäfle, une grande
- Nous vous servirions si fidèle-
ment! reprenait l'autre.
La vie est dure ici.
nous, s'il vous plait!
—- Je ne puis, dit Georges tout ému.
je ne puis, et il s’efforçait de les éloi-
gner. {
Les pauvres esclaves parurent abat-
tus, et ils se retirèrent en silence.
Georges s’agenduilla sur la tombe
de son humble ami. !
— Dieu éternel, dit-il, Dieu éternel!
Achetez-
CHAPITRE XLII
Une histoire de revenants véritable len arrêtant son plan d'évasion:
, On comprendra facilement que les} ferait la dame et Emmeline la
histoires de revenants et de fantômes | vante.
… elle l'avait vu emporter le
perspicacité plus éveillée que quand corps de Tom, elle avait observé, avec
les yeux du corrs som fermés. On üne joie secrète, toutes les circonstan-
faisait donc, dans toutes les cases, ces de son entrevue avec Legree. Elle
les portraits en pied du far tôme, tous avait assez entendu parler de lui aux
jurés et certiñés véritables; et, com- nègres, elle savait qui il était et par
me il arrive souvent aux portraits, | fui-même, et rapport à Tom Elle se
. |seur d'esclaves?
2 ————— © ——
fois l'escalier silencieux, elle remon.| Georges Shelby offrit la main à
tait jusqu'an grenigr.… ét cependar, Cassy, et la conduisit À bord avec la
BR lendemain matin, an retrouvait les politesse et la courtoisie naturelles à
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ler de cette plantation, il ne pouvait | croire, le nom qni se trouve sur le
y penser de sang-froid; et, avec cette | billet.
— O Dieu!
Georges et Mme de Thou s'élancè-
La cabine qui touchait celle de} rent au secours. de Cassy… ils. mon-
Cassy était occnpée par une Françai- | trèrent l'agitation convenable en pa-
avoir vu mûrir douze étés.
Cette dame, ayant appris dans la|l’ardeur de son zèle, renversa une
conversation que Gcôrges était du|cruéhe et brisa deux vases. Dès
faire sa connaissance; elle avait un| nouissement, les femmes accoururent,
puissant auxiliaire Cans sa petite fil- | elles se péessèrent autour de Cassy,
le, qui était bien le plus charmant | et interceptèrent ainsi l'atr qui l’eût
joujou dont pût s'amuser l'ennui | fait revenir... En somme, tout se pas-
d'une trazersie de quinze jours. sa comme on devait s'y attendre.
Georges venait sou/ent s'asseoir à Pauvre Cassy! Quand elle ut re-
la porte de la cabine, et Cassy pouvait | venue à elle, elle se tourna du côté
entendre toute leur conversation. du mur, et pleura et sanglota comme
Mme de Thou faisait les plus mi-!un enfant. O mères qui me lisez!
nutieuses questions sur le Kentucky,! vous pouvez peut-être dire qu’elles
Une | fois en sa pas
fois, l'füchér de la regarder, de l'examiner | voulut jamnis dire ce qu'elle lui avait Dean
mais | sans cesse. Qu'ellé fût à table, ou, coûté. mas l'autre jour, en parcou martyre
terrible, répéta par|assise à la porte de sa cabine, elle | réñt ses vieux papiers, nous avons re- M Georges,
FINS
(LD, + PPT ES LE
A ce moment on frappe. à la porte
Un joyeux: “Tiens! c'est vous!” atti-
re l'attention du mari. Le bon pas-
teur d’Amherstberg est cordialement
accueilli, 11 yÿ a deux fefimes avec
lui; Elise les prie de s'asseoir.
S' faut dire vrai le bon misaion-
pour s'essuyer la bouche et préparer
son éloquence, il vit Mme de Thou
déranger toutes ses combinaisons en
jetant ses bras au con de Georges
avec ce cri qui disait tout: “Georges,
ne me reconnais-tu pas? Ta soeur.
Emilie ?”
Cassy, au contraire, s'était assise
où elle avait, disait-elle, passé sa étaient alors sen: pensées. Peut-être | "°° Calme: elle vouinit, elle, se cup-
première enfance
aussi ne lé pouvèz-vous pas! Mais, former au programme; mais la petiie
Georges fut serpris d'apprendre |en cé moment, elle sentit que Dieu Elise se montrañt à elle tout à coup,
qu'elle avait vécu dans son propre | avait pitié d'elle et qu'elie reverrait
voisinage; il n'était pas moins éton- | sa fille...
né qu'elle connût si parfaitement et| Et en eflet, quelques mois après.
les personnes et les choses de sa pre- Mais n'anticipons point sur les évé-
mière enfance, nements.
— Connaissez-vous, lui dit un jour CHAPITRE XLIII °
Mme de Thou, un tomme de votre Résultats
voisinage du nom de Harris ?
— ll y a un drôle de ce nom pas|dit. ; ;
loin de la maison, répondit Georges; | Georges Shelby, comme tout jeune
rapports avec lui.
voulu le laisser voir.
— Oui, répondit Georges étonné. |dans son esprit le moindre doute sur
— Alors vous pouvez, vous devezfl'identité de l'enfant. Il n'y avait
savoir s'il a eu un mulâtre du nom de | plus qu'une chose à faire: se mettre
Georges ? .
— Certainement. Georges Harris.| (Cassy et Mme de Ttou, ainsi réu-
la taille, le visage, la touraure, che-
que trait, chaque boucle de chevetix,
Le rédté de l'histoire sera bientot |°°°ur en s'écriant: ‘‘Chère petite, Je
suis ta mère!” *
Ah! vraiment, 11 était bien
tu
. [nous n'avons jamais eu de grands |bomme l'eût été à sa place, fut vive- | 4 suivre le programme du bon pes-
ment intéressé par ce qu'il y avait| ur M réussit, cependant, à calmer
— C'est, je crois, un riche posses-|de romanesque dans ce nouvel inei-| t°ut le monde et à prononcer le
| dent 11 était d'ailleurs humain et | discours qu'il avait préparé.
Mme de Thou ft cette question| bon. H fit parvenir à Cassy le bü-| bita avec une telle onction,
avec un intérêt plus vif qu’elle n'eût|let de vente d'Elisa; la date, le nom, | f°ndirent en larmes. Il y avait
tout coincidait. .I1 ne restait plus } 4U0i satisfaire l'orateur le
Il le
que
geant des temps anciens et des
rnes.
Tout le monde s’agenouilla, et
missionnaire prin.. 11 est des senti-
ments si agités et si tumultueux
qu'ils
Je le connais parfaitement. il a épou-| nies par la communauté de leur des-Îne peuvént frouver de repos qu'en
sé ure esclave de ma mère. Il s'est|tinée, pässèrént immiédiatément au|s'épanchant dans le sein de Véternel
Il y eut une question dans le re- Elles trouvèrent à Amberstherg le | Celui qui, les retirant de tant de pé-
gard de Georges; mais cette question, | missionnaire qui avait reçu Elisa ct|rils et de dangers, les avait conduits
ces de la famille jusqu'à Montréal.
. Depuis cinq ans, Georges et E;.:a
; Heaori cst un charrmant petit garçon
qu'on a mis dans une école; il tra
Yaille et fait des progrès.
Souffrait de douleurs atroces dans ls
figure — Ne trouvait aucun soula-
gement — Nerviline fa guérit
pement cès des recherches de Mme de Thou
guérié par Nerviline. ‘“Je|ét de Cassy, qu'il céds. à leurs sollici-
PH Sn 2 2e «he mages à Mont
- | réal ;
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tement,
Le digne missionnaire d'’Amherst- | partielle.
les jours,
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we, publié sous l'Empire: “Le, vieux | illisibles. à J'occasion elle agit comme
persiste”. Lifez: le mieux persiste. #50 préventif sur les désordres di- a |cansd.
Un racorte qüe lès ouvriers tmpri | La enterie. — M. E. Bau-
-meurs et le correcteur ont été us disch, pr e La Quemada, ue .
diés après cefte gafe. écrit: “J'étais si affaibli par la.
‘ On trouvé Aussi dans le ‘ “Moniteur|Malaria et la A mg es qu'il
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